Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

dimanche, 06 janvier 2013

De Rome et de canicule

À ma lyre aujourd'hui j'exulte,

Desdichado inconsolable.

« Le lionceau appendra adulte

Que ces marques sont inviolables.»



Je vous aime, ô chastes vestales,

Du grand Amour les vraies aïeules.

« La mère crocodile installe

Les bébés au fond de sa gueule.»

 

Toi que l'amour fou innerve,

Je chante ton feu de glace. 

« Le guetteur mangouste observe

L'attitude du rapace. »

 

Vesta, bien sûr, n'est pas Eros,

Ce garnement au profil morne.

« Karanja le rhinocéros

Est reconnaissable à sa corne. »

 

Souvent, si je fais fomec,

Terré au sol, c'est en rampant. 

« Le vervet lance un cri sec

Pour se prémunir des serpents. »

 

La vestale est sans remords

Au souffle du dieu moqueur. 

« Sur le tronc d'un arbre mort,

Liaram dépose son odeur. »

.

Les commentaires sont fermés.