samedi, 27 avril 2013
Domme ou l'Empierrement
Domme, deux ans déjà. Ce que l'on y voit est si étriqué, le souvenir de déception (première visite en 95) lui-même ne déçoit pas, et l'on regarde vers ailleurs, vers alentour, déçu encore.
Le nom est beau, qui fut rencontré pour la première sur les étagères farcies, au huitième (neuvième? j'ai un doute) étage de la résidence Génovia. Cet appartement, lieu intermittent où je lus notamment Hemingway en sirotant je ne sais plus quels sirops, reviendra-t-il me hanter sur mon lit mortuaire ?
C'est gai. That's what Domme does to you.
05:52 Publié dans Blême mêmoire, Hors Touraine, Zestes photographiques | Lien permanent | Commentaires (0)
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