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mercredi, 12 juin 2013

 

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Que les textes, comme les années, se constituent par l’accumulation de structures figées (31 jours, 13 lunes, cinq années valant un lustre, etc.) que seules les ambiguïtés (parfois délibérées) de la langue peuvent rendre plus mobiles, et, à ce titre, émouvantes, je l’ai toujours su, même sans l’exprimer ainsi, même sans le comprendre, y compris cette année-là, tapant à la machine dans l’obscurité du studio et la douceur moite des nuits de mai.

Quoique… une journée ne compte pas neuf heures.

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