dimanche, 15 décembre 2013
Claude Mauriac, l'approvisionnement
Hier, donc, sont arrivés deux volumes en français : Toutes les femmes sont fatales (édition originale, pages non coupées (ce qui est l'occasion de découvrir que les livres publiés par Albin Michel dans les années cinquante ressemblaient beaucoup aux Corti des années 1990)) et le troisième tome du Temps immobile, édition originale aussi mais ouvrage plus abîmé.
Par ailleurs, j'ai eu confirmation, par l'excellent Patrick Chartrain, que le dernier tome de la tétralogie romanesque, L'agrandissement, n'avait jamais été traduit en anglais (en tout cas, pas de traduction publiée). Dès que je mettrai la main sur les éditions anglaises du premier tome, je saurai s'il y a bel et bien deux traductions distinctes, ce qui ferait une étrange symétrie : 2 - 1 - 1 - 0.
08:38 Publié dans La Marquise marquée | Lien permanent | Commentaires (2)
Commentaires
J'ai encore "Le Temps immobile" sur une étagère : Claude Mauriac, méconnu (évidemment l'ombre du père a du être difficile à porter mais celle du général de Gaulle aussi !).
Et j'aperçois, depuis mon clavier, son livre sur André Breton (Grasser, 1970)...
Écrit par : Dominique Hasselmann | dimanche, 15 décembre 2013
Vous avouerai-je que l'essai sur André Breton m'est un peu tombé des mains ? Ça a beaucoup moins bien “vieilli”, en quelque sorte, que ses romans, il me semble.
Écrit par : Guillaume Cingal | dimanche, 15 décembre 2013
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