samedi, 05 septembre 2015
“la ville éternue”
la ville éternue
son plaisir de face
cambouis dans la glace
où la nuit remue
mémoire ténue
d'avenir qui passe
cambouis qui encrasse
votre robe nue
sous un blanc tergal
l'amour m'est égal
la crasse des villes
où ne s'insinue
pour des jours tranquilles
votre voix connue
09:23 Publié dans Sonnets de janvier et d'après | Lien permanent | Commentaires (0)
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