vendredi, 11 septembre 2015
“que soudain l'on entonne”
3 août 2015, 9 h 04
que soudain l'on entonne un thrène
avec l'ombre de l'ici-gît
nous égrenant ses élégies
clinquantes piécettes d'étrennes
& tout ce qui est doux revient
refait surface à l'unisson
redis-moi le temps de cuisson
du bonheur mon bon margoulin
je danse pour que vos migraines
emportent le monde à la traîne
je danse pour vos gabegies
je danse avec ce hameçon
coincé dans mes tripes rougies
je danse pour les charançons
12:52 Publié dans Sonnets de janvier et d'après | Lien permanent | Commentaires (0)
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