Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

samedi, 27 août 2016

Mannix & chaleurs

27 août

Levé à 6 h 30, après une nuit plus reposante. Glanages & glandages divers sur le Web, jusqu'au réveil de C*** et des enfants. Relu de longs (beaux passages) du deuxième Génie du lieu, celui qu'on ne peut typographier à cause du double accent sur le u de Ou.

Passé entre dix et onze à la librairie Le Livre. Comme de bien entendu, je m'étais noté trois ou quatre titres repérés dans la moisson absurde de la rentrée dite littéraire, et suis reparti avec huit livres et une revue, ce qui m'a permis d'ailleurs de faire une photographie amusante de la pile posée sur le siège du passager avec le ticket de stationnement (je n'avais payé que douze minutes, 30 centimes, le minimum, faisant ainsi une économie de 80 centimes au risque d'une amende, et ce donc tandis que je claquais 160 € en nourritures spirituelles).

Trouvé O*** nauséeux à mon retour, pas en forme, et C*** au téléphone avec ma mère à lui servir de notice vivante pour la boutique Kindle. Deux belles parties de roulette folle avec O***.

14102359_10208293762875599_6290794785285384241_n.jpgToujours repas sur la terrasse avec la vaisselle du sous-sol.

Nouvelle partie de Trivial Pursuit en début d'après-midi. Ma capacité (ma propension ?) à être certain d'une réponse alors que je suis à côté de la plaque finit par m'étonner moi-même.

Deuxième mi-temps du match de rugby Pau-Toulon, d'un ennui quasi mortel (mais heureusement je lisais le dernier numéro de la revue Mettray, découverte justement ce matin). Mannix passe son temps à hurler en s'agitant le long de la touche ; il doit y avoir une vanne graveleuse à faire à partir de ça, mais je ne trouve pas.

Le panneau de basket est inrevissable (système des pas de vis foutu). Colle forte ??

Lu le bref et plutôt beau premier roman d'Elisa Shua Dusapin (Hiver à Sokcho) sous les néfliers, en écoutant les quatuors de Durosoir, dans la chaise longue bleue et verte dont C*** me dit qu'on l'a achetée à Beauvais, début 2001. J'écris ces lignes à cette même place.

 

Où passe la chatte dans la journée ? Comme hier, nous ne l'avons pas vue depuis le milieu de la matinée, après ses rodéos discrets de la nuit et de l'aube. Elle a dû se trouver une planque plus fraîche que le brasero qui nous sert de maison.

[Elle est apparue alors que je mettais la dernière main à la mise en forme de ce billet, deux ou trois minutes tout au plus donc après avoir écrit ce qui précède.]

Commentaires

Pour "Hiver à Sokcho", c'est ici : http://editionszoe.ch/livre/-2

Écrit par : Denis | dimanche, 28 août 2016

Beau dénouement que celui de l'hiver à Sokcho.
J'ai été sensible quant à moi au lien cuisine/dessin/écriture qui devient un motif à part entière dans le roman. Quelques défauts aussi, notamment lorsque l'écriture se veut trop concise, trop elliptique : ce n'est pas là que l'auteur excelle en fin de compte.

Écrit par : cété | dimanche, 28 août 2016

Denis, merci de me signaler ce lien fautif !

C***, on partage l'analyse, aussi sur les phrases nominales etc.

Écrit par : Guillaume | dimanche, 28 août 2016

Il y a encore des gens qui jouent à Trivial Pursuit? (je pensais les questions obsolètes, genre évoquer Colaro devant des enfants).

Glanage et glandage : mais oui, bravo, c'est exactement cela. GG, mec.

Écrit par : Alice | mardi, 30 août 2016

Les commentaires sont fermés.