dimanche, 15 janvier 2017
Quintil pétronien 4
Quintils pétroniens — Grâce à la fonction On This Day, que j'évoquais encore tout à l'heure, est “remonté” un petit poème de rien du tout, publié directement sur Facebook le 15 janvier 2013 et que je n'avais jamais republié ici.
Il s'agit du véritable quatrième Quintil pétronien, forme dont on trouve l'acte de naissance à la date du 23 décembre 2012. En tout, il semblerait que je n'en ai écrit que neuf. (C'est là ce que j'ai appelé plus tard dans les carnets gris des formes singulières, pour marquer autant leur rareté que le fait que j'en suis l'inventeur.)
À l'époque, le poème avait été “liké” par six personnes, dont une au moins me demeure énigmatique (Julien Grrd) — sans doute un de ceux qui demandent à faire partie de mes contacts, que j'accepte car ils sont amis avec tel ou tel ou car ils commentent de manière drôle ou sagace ici ou là, et que je finis par rayer de la liste après quelques mois sans la moindre communication. Par principe, je souhaite ne pas avoir plus de 200 contacts sur Facebook ; cela n'exclut pas les gens que je n'ai jamais rencontrés “en vrai”, mais il faut que se tissent alors, dans la durée, des liens. La majorité des plus fidèles suiveurs de mes traductions sans filet, par exemple, sont des personnes dont je me sens très proche sans pourtant les avoir encore rencontrées.
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15 janvier 2013
Doxa. Isolement.
Infinie tristesse.
Zéphyr, Éole ment :
Aquilon d'altesse
Et nid d'aigle. Était-ce ?
22:24 Publié dans Le Testament in(dé)fini, Quintils pétroniens | Lien permanent | Commentaires (0)
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