Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

vendredi, 27 mars 2020

Des perruches souris aux mouettes de Franklin

Hier après-midi j'ai fait une petite sieste, et ça m'a complètement foutu en l'air : nuque raide, douleurs vagues jusqu'au coucher. Et là, réveillé très tôt avec la migraine, fini par prendre un doliprane. Sieste réparatrice, my foot.

 

J'ai lancé un nouveau projet vidéo, Miettes & bribes, a priori pour mes étudiant·es d'échange, mais le public-cible n'a pas encore réagi ; j'aimerais bien, pourtant, que ce soit ces étudiant·es-là qui me proposent le thème des futures vidéos. — Pour le projet Scarlatti, il faut que j'écrive 34 textes d'ici le 31 mars (5 jours donc), mais cela seulement si je veux rester dans le cadre du nouvel objectif : boucler le livre fin juin. (L'objectif de départ était d'écrire ce livre en 12 mois, donc de le boucler fin 2020.)

 

Film hier soir : Le Magnifique, que je voyais pour la quatrième fois (mais  on alterne les films qu'on n'a jamais vus avec des “classiques” pour O*). Pourtant, c'était A* qui se rappelait le gag de la femme de ménage qui passe l'aspirateur sur la plage. Il ne se rappelait pas du tout, par contre, toute l'intrigue autour de la doctorante et de l'éditeur : il a raison, c'est le point faible du film. Envie d'extraire, pour en faire un GIF, les 3 ou 4 secondes de la scène au Jardin des Plantes où Merlin (Belmondo) dit à Christine (Bisset) : “mais tout le monde s'en fout, de votre thèse !”. Gifle incluse, évidemment. Mais je n'ai pas 30 minutes à perdre pour ça, je pense.

François Merlin est un “écrivain en bâtiment” comme le disait naguère voire jadis Didier Goux de ses propres ouvrages. Je me demande si D.G. a fait la liste exhaustive de tous les livres qu'il a écrits sous le pseudonyme (collectif, crois-je me rappeler) de Michel Brice. Toutes les scènes où Merlin est assis face à sa machine à écrire étaient ce que j'avais préféré quand j'ai vu ce film pour la première fois (et ça s'est encore ressenti dans l'écriture de mon quadrilatère d'hier soir).

 

Commencé à lire hier le texte d'un ami d'A* qui raconte son séjour en Amérique du Sud avec force photos animalières magnifiques. Cela aussi s'est retrouvé dans le quadrilatère 241-244, écrit exceptionnellement avant le coucher.

 

À faire ce vendredi, outre le cours de L3 à distance, et deux appels téléphoniques pour le travail : la n° 59 de je range mon bureau. Déjà huit jours depuis la 58, et je voulais les enchaîner. Les semaines passent à une vitesse...

 

Bon, ce fut un billet très égocentrique. C'est un peu le principe du journal, mais enfin...

 

Commentaires

Jacqueline Bisset, et non Christine. (Décidément les noms de cinéma et vous…)

Écrit par : Didier Goux | vendredi, 27 mars 2020

Oups ! pardon : lu trop vite…

Écrit par : Didier Goux | vendredi, 27 mars 2020

Sinon, pas de liste exhaustive de mes “Œuvres". Et comme tout est parti à la déchetterie, elle ne sera jamais faite. Mais le nombre de livres écrits se situe entre 120 et 130, de cela je suis sûr.

Écrit par : Didier Goux | vendredi, 27 mars 2020

Voulez-vous dire que vous n'avez pas gardé d'exemplaire de vos propres livres ? Je crois que j'ai encore les 2 exemplaires du "Prédateur des blogs", à moins que ce ne soit du "Maître de Plieux"... en tout cas, 1 exemplaire de l'un et 2 de l'autre.

Pour la correction, on ne prête qu'aux riches : je me goure si souvent...

Écrit par : Guillaume Cingal | vendredi, 27 mars 2020

Je les ai conservé longtemps, au moins parce qu'ils pouvaient me servir de "doc" pour écrire les suivants. Lorsque j'ai cessé de faire l'écrivain en bâtiment, vers 2013 je crois, j'ai en effet tout jeté.

Écrit par : Didier Goux | vendredi, 27 mars 2020

C'est radical.

Écrit par : Guillaume Cingal | samedi, 28 mars 2020

Les commentaires sont fermés.