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vendredi, 19 juin 2020

*1906*

Donc l'un des deux néfliers n'est plus. Aujourd'hui, il faudra percer des trous dans la souche pour lui injecter je ne sais quel produit permettant de l'éradiquer sans dessoucher.

 

Ces temps-ci je traverse une phase totalement désabusée : rien ne me semble avoir de sens, et rien ne semble valoir la peine de se remuer. Cela passera, sans doute, mais ce n'est pas agréable.

D'ailleurs, je ne continue plus aucun de mes Projets.

 

Hier midi, déjeuner à l'excellent restaurant éthiopien, le Karamara. Vu, dans le jardin de la Préfecture, les 5 statuettes représentant des personnages de Balzac en costume contemporain (Rastignac sur son téléphone portable etc.). Ce n'est pas bien malin, et plutôt laid.

Entre deux averses torrentielles, détruit le muret sous le perron avec mon père, et fait deux allers-retours à la déchetterie.

Le soir, nanard (drôle) : Johnny English Returns.

 

Commentaires

Je me souviens d'un plat éthiopien, découvert en 1973, à Addis-Abeba et à Awasa. Cela s'appelait le “wat” (orthographe évidemment non garantie). Il s'agissait d'un ragoût de viande (bœuf ? Mouton ? Sais plus…) très pimenté. Et dans la sauce, très rouge, flottaient des œufs durs entiers.

Écrit par : Didier Goux | vendredi, 19 juin 2020

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