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jeudi, 30 mars 2023

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Aujourd’hui, je vais avoir presque une journée calme.

 

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En effet, et même si c’est regrettable, je n’ai pas à conduire Mariam Sheik Fareed de son hôtel à la gare, vu qu’elle n’a pas pu venir. Et Dominique Meens, avec qui je devais déjeuner puis promener sur les bords de Loire en guettant les cormorans et ce qu’il pourrait m’en souffler, est déjà rentré dans ses pénates (le passage par Tours devait être une halte).

 

Je vais simplement passer à mon bureau, toujours inaccessible comme le reste du site Tanneurs ; le doyen va m’ouvrir pour une petite demi-heure, le temps de faire quelques tirages avec le photocopieur-scanneur. Et sinon je vais saisir dans le tableau Excel transmis par le décanat toutes les modifications de modalités de contrôle demandées par les collègues et responsables de matière.

 

En train d’écouter le premier album du quatuor Enez, déniché à la FNAC presque par hasard lundi dernier, en regardant les nouveautés. Il se trouve que ce quatuor très chantant, très mélodieux, très mélancolique aussi, est constitué autour du pianiste/compositeur Romain Noël, avec Florentin Hay à la batterie, Ivan Gélugne à la contrebasse et enfin Paul Cadier au sax ténor. Or, jeudi dernier, lors de la manifestation post-49.3, j’ai discuté un moment avec Paul, que je n’avais pas croisé depuis une éternité, qui fut le prof de saxo d’A*, et dont j’avais un peu perdu de vue la carrière. Il m’avait confirmé que les années Covid avaient été un creux assez terrible mais qu’un nouvel album du trio Steak (son premier projet) allait voir le jour bientôt, mais aussi qu’il s’était beaucoup investi dans un medium band afrobeat nommé Jumbo System. Je n’ai pas encore eu/pris le temps d’aller écouter ça (mais je note ici cet oubli, à réparer).

L’album Enez est très varié, en fait : malgré le caractère souvent mélancolique, certains morceaux sonnent presque comme du Steve Coleman ou comme le quartette de Coltrane à l’époque My Favorite Things, sauf que Paul est vraiment toujours davantage plus du côté de Rollins et Lovano, il me semble (ou Rob Brown, tiens, dont je crois n’avoir qu’un disque, avec William ParkerPetit Oiseau, 2008), avec une recherche sonore dans les échanges entre basse et piano qui évoque un peu de mes disques préférés du contrebassiste William Parker, avec Sophia Domancich (Washed Away, 2008).

 

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https://www.youtube.com/watch?v=HbvSzDRmvMM

en rouge?

Écrit par : Mylène | jeudi, 30 mars 2023

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