dimanche, 29 octobre 2023
29102023
4 h 20
(C’est malin, de se réveiller tôt la nuit du changement d’heure…)
Ce mois d’octobre, côté discipline d’écriture, ça aura été n’importe quoi. Je m’avise aussi, en retombant sur la dernière entrée, celle d’il y a 15 jours, que je n’ai traduit que deux chapitres depuis lors : c’est normal, au sens où j’ai été très accaparé par la préparation des emplois du temps du second semestre et la finalisation des maquettes de Licence pour l’année prochaine. Mais c’est idiot, au sens où cela me prendr(rait) dix ou quinze minutes d’écrire un billet quotidien, et où cela s’avère, à long terme, satisfaisant – et plus satisfaisant bien sûr que de trouver ces carnets tout troués, en quelque sorte.
Ce week-end, nous devions aller à Oléron, où nous ne sommes jamais allés, passer le week-end chez H* et J*, qui y ont une petite résidence secondaire depuis deux ou trois ans, mais l météo est si épouvantable que H* a préféré nous déconseiller de faire les sept heures de route aller-retour pour rester enfermés à écouter la tempête : partie remise, espérons.
Comme j’ai prévu de traduire les chapitres 9 à 11 d’ici la fin des vacances, il faut que je m’y mette aujourd’hui. Hier, j’ai glandouillé, et fini de lire Terminus Babel de Mustapha Benfodil (qui m’a moins plu qu’Alger, journal intense), The House of Rust de Khadija Abdalla Benjaber (très très bien – S* m’a dit qu’elle espérait pouvoir placer un projet de traduction de ce roman) ; il me reste deux chapitres des Indociles d’Adam Shafi Adam, excellemment traduit du swahili par Aurélie Journo, dont j’ai été le collègue quand elle préparait sa thèse, que j’ai recroisée à Toulouse l’an dernier et qui a donc étendu ses compétences au swahili (cela m’impressionne toujours). Hier soir, j’ai trouvé dans la boîte à lettres la première des deux parutions récentes/imminentes de chez Louise Bottu, avec/sans titre de Florence Saint-Roch et Dominique Quélen, que j’ai commencé à lire en me promenant, au point d’en improviser une lecture près du square Max-Ernst.
Il fait, ici comme ailleurs en France – mais moins violemment que sur la façade atlantique –, un temps d’automne : bourrasques, averses brusques et massives…
04:31 Publié dans 2023 | Lien permanent | Commentaires (0)
dimanche, 15 octobre 2023
15102023
Aujourd’hui, première fois qu’on branche le petit radiateur à bain d’huile dans la chambre d’O*, à l’étage ; après des semaines de chaleur anormale, les nuits sont (enfin) fraîches. Malgré les deux vagues averses d’hier, la sécheresse reste. Le chauffage central, lui, ne se « relance » pas ; cela risque de se produire pendant une heure le matin, à partir de la semaine prochaine.
Aujourd’hui comme hier, chose singulière, c’est C* qui s’est réveillée tôt, avant moi, me réveillant.
Aujourd’hui, j’ai donc passé cinq semaines sans écrire dans ce blog. Il suffirait d’aller piocher dans mes publications des réseaux sociaux pour tricher : ni le temps ni l’intérêt. La pile de livres pas encore chroniqués pour le vlog s’élève – le terme est adéquat : c’est une tour qui menace de s’effondrer, avec ses myriades de mots sur cet ordinateur – désormais à 29.
Aujourd’hui je vais peut-être attaquer, plutôt que les emplois du temps rectificatifs du 2e semestre, le chapitre 7 de Born in Blackness : à raison d’une (grosse) journée par semaine, j’ai traduit 85 pages depuis le 12 septembre, mais je suis à peine dans les temps.
Aujourd'hui, mon arrière-grand-mère (la mère de ma grand-mère maternelle) aurait eu 126 ans. Elle est morte quand j'en avais dix-neuf.
09:20 Publié dans 2023 | Lien permanent | Commentaires (0)