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mercredi, 03 janvier 2024

03012024

 

C’est ici le premier texte de cette année. Malade depuis plusieurs jours (et vraiment cloué au lit le 31 ainsi que la nuit du Nouvel An) je n’ai pu allumer même l’ordinateur qu’hier soir. A* est reparti à Rennes avec F* ; notre ami Éric, qui était venu pour deux jours, et pour qui j’ai surmonté un peu mon épuisement et ma fièvre en m’extirpant du plumard depuis avant-hier matin, est aussi reparti, reconduit par C* à la gare en fin d’après-midi. Aujourd’hui reprend une routine, à trois. Le vent et la pluie se sont calmés, et il y a même un rayon de soleil ; j’ai réussi à photographier une mésange bleue, mais pas le pinson (pas facile à photographier, les pinsons…).

 

L’an dernier, je m’étais promis de publier un texte chaque jour sur ce blog ; promesse partiellement tenue, mais au moins il y a des traces. (Variante : je continue de créer ma propre archive.) Je vais retenter cette année, et même tenter de vraiment reprendre l’écriture sur l’autre blog, avec des projets courts, peu exigeants formellement : je commence aujourd’hui avec une série de textes provisoirement intitulée Mouchoirs 2024.

Ici, je vais me contenter de noter systématiquement quelques brèves phrases sur chaque livre lu, laissé inachevé, ou parcouru. (Il y a donc tricherie : on verra que j’aurai publié à titre rétrospectif des billets aux dates des 1er et 2 janvier.) Idem peut-être pour les disques. Cela devrait permettre d’« alimenter » cette rubrique 2024. Il faut que je reprenne le collier côté boulot : traduction laissée en plan depuis un bon mois, et donc désormais en retard ; copies (des monceaux) ; préparation des cours du second semestre ; préparation de plusieurs interventions de recherche…

 

Je ne peux clore ce billet sans une note moins égotiste et plus lugubre. Je vais donc citer (ce qui permettra de ne pas tricher totalement) ce que j’ai écrit hier 2 janvier à 5 h 55 du matin sur le réseau social Bluesky :

Du mal à souhaiter une bonne année car écologiquement, socialement et politiquement ça va encore être horrible, mais au moins la santé et du bonheur, autant que possible, avec vos proches. Fuyez les toxiques.

 

11:42 Publié dans 2024 | Lien permanent | Commentaires (0)

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