vendredi, 03 janvier 2025
03012025
Encore réveillé autour de 5 h, peut-être avant. Avant les vacances, on s’était dit qu’il y avait peut-être quelque chose (sur le rond-point ?) qui faisait du bruit à cette heure-là : un voisin (celui du 4 ?) qui part travailler ? Mais pourquoi si soudain ?
Journée avec les Cessonnais·es hier ; j’ai pu donner à ma sœur « son » exemplaire de Noires origines. C’est drôlement gentil d’avoir fait la route : environ 5 h aller-retour pour passer à peine plus en notre compagnie. L’après-midi, trois parties de Saboteur et une de The Game, avant un bref tour à pied en passant entre les averses. Temps toujours gris, humide, trempé, comme depuis trois mois.
Au supermarché, le matin, tout le monde se souhaitait la bonne année ; c’est assez ridicule.
2025 : vu toutes les possibilités qu’offre ce nombre, il faudrait tenter quelque chose d’un poil oulipien, mais je n’ai pas le temps. Françoise Guichard se lance dans un sonnet par jour ; je risque le simple neuvain de vers libres (pas folle, la guêpe).
06:20 Publié dans 2025 | Lien permanent | Commentaires (0)
Écrire un commentaire