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samedi, 18 juin 2005

Qualis artifex pereo

Il va faire, aujourd’hui encore (j’écris ceci à dix heures du matin, mais, ne sachant quand je me connecterai, l’heure de publication en est imprécise), une chaleur estivale, torride. Dès ce matin, à sept heures, il n’y avait qu’un maigre souffle d’air à l’étage, en ouvrant pourtant les fenêtres à tous les vents. Je n’ai pas dormi assez (couché à une heure, réveillé à six) et je me suis levé avec d’affreuses courbatures qui me font encore souffrir à l’heure où j’écris ces lignes.

Aride, j’ai la gorge aride et vide.

Nous avons acheté avant-hier, pour célébrer « notre » treizième anniversaire, un appareil photo numérique, ce qui est moyennement romantique… mais enfin… A coup sûr, c’est la première année que nous ne nous offrons pas des cadeaux individuels et surprenants, et que nous cédons, en grande partie par ma faute d’ailleurs, à une forme de célébration assez petite-bourgeoise.

Bon, c’est fini, de se faire du mal ?

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