dimanche, 24 juillet 2005
Proses profuses
En écrivant plus tôt, ou plus haut (ou plus bas, vu l’organisation des pages sur H&F), remerciements profus, je me suis pris à vérifier l’adjectif dans les dictionnaires. Le Grand Robert analogique, toujours lui, nous apprend que l’on peut parler de “sueurs profuses” (dont mon naturel ne me prive pas, dois-je dire, au grand bonheur des moustiques, qui peuvent hanter une maisonnée sans piquer personne d’autre si je m’y trouve, au repos).
Dans son Journal, à l’entrée du 17 juillet 1943 (mon grand-père avait dix-huit ans pile ce jour-là (difficile de s’imaginer cela)), Gide écrivait :
« Lumière profuse; splendeur. L’été s’impose et contraint toute âme au bonheur. » (cité dans le Grand Robert analogique, tome 2, p. 668)
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C'est aujourd'hui l'anniversaire de ma mère.
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