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vendredi, 27 janvier 2006

Chanson bas

Composé en marchant, rue de l'Anguille,

jeudi vers trois heures.

 

Vous n'êtes plus personne

Que le vent abandonne

Que la marée moissonne

Que le feu désarçonne

 

Vous n'êtes éperdu

De ce malentendu

De n'avoir étendu

Vos bras vers l'inconnu

 

Que l'orage résonne

Vous n'êtes plus personne

Que la peur emprisonne

Que ma bouche fredonne

 

Lalala lala lalalalala

Lalalalala

Lalalalala

 

Commentaires

Ca ressemble un peu à ce que je faisais dans le temps. En un peu plus mieux.

Écrit par : Samuel | vendredi, 27 janvier 2006

c très jolie!! même si j'ai pas tout lu!! de la part d'une vrai blonde!! lol

Écrit par : silsandra | vendredi, 27 janvier 2006

moi aussi j'en écrit!!! ça fait du bien en tout cas

Écrit par : silsandra | vendredi, 27 janvier 2006

Samuel > En plus mieux ? je n'en doute pas.

Écrit par : Guillaume | vendredi, 27 janvier 2006

C'est bien. C'est triste. Y a qu'à 3 heures du matin, seul(e), qu'on peut inventer des trucs pareils. Bises.

Écrit par : Sînziana | vendredi, 27 janvier 2006

C'était à trois heures de l'après-midi... Avec l'air (musique), c'est moins triste.

Écrit par : Guillaume | vendredi, 27 janvier 2006

Ah, zut, c'était déjà en musique ?

Écrit par : Antoine | vendredi, 27 janvier 2006

C'est l'avantage de le publier ainsi : vous n'avez pas l'air, et êtes tous libres d'inventer la mélodie de votre goût ou de votre humeur.
De toute façon, je ne connais pas un traître mot de solfège et ne joue d'aucun instrument.

Écrit par : Guillaume | vendredi, 27 janvier 2006

Arrivé à "fredonne", j'en ai eu marre, j'ai sauté le dernier paragraphe !

Écrit par : Simon | vendredi, 27 janvier 2006

Ce Simon, quel boute-en-train...!

Écrit par : Guillaume | vendredi, 27 janvier 2006

Les commentaires sont fermés.