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vendredi, 10 novembre 2006

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Un gars de Saint-Etienne de

Chigny* avait la haine de

La solitude maudite.

S'il voyait un troglodyte,

Il disait : "Qu'il en vienne deux!"

 

 

* Il pourrait s'avérer risqué de prendre le méchant pli d'annoter mes limericks, dont la forme brève et l'humeur ludique ne devraient pas s'accommoder de pesantes explications, mais, en l'occurrence, je veux seulement rapporter une anecdote plutôt récente. Au printemps dernier, la mère du meilleur ami de mon fils me racontait quelques épisodes de leur vie dans leur précédente demeure, "à Saint-Etienne". Comme elle ne cessait de répéter "Saint-Etienne", j'avais songé, longtemps, qu'il s'agissait de la cité où fleurissent le football et l'industrie, jusqu'à ce que, soudain, le malentendu se dissipe et que, à entendre évoquer l'habitat troglodytique, je comprisse que ce Saint-Etienne, à l'identité si évidente pour mon interlocutrice, était la petite commune des bords de Loire. De cette anecdote est peut-être né, également, le désir de jouer sur la polysémie du mot troglodyte.

(Note écrite le dimanche 5 novembre, au retour du château de Langeais.)

Commentaires

Cher Bordelais tourangeau, tu es vraiment trop gloditte ! (J'ai pas pu m'en empêcher, c'est nul mais ça me fait rigoler. Sorry...)

Écrit par : fuligineuse | vendredi, 10 novembre 2006

Il y avait une blague (raciste, j'en ai peur) qui se terminait comme ça : "Il est trop glo, dites." Ou me trompé-je ?

Écrit par : Guillaume | samedi, 11 novembre 2006

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