samedi, 09 décembre 2006
Photif phormat
Irène, que je vois trop peu ce trimestre, a indiqué à une collègue et amie commune que je "déformais toujours les propos des autres de toute façon". N'est-ce pas le propre du bouche-à-oreille qui se perpétue aussi dans les carnétoiles (la tête dans les nuages ? dans la lune ?) ? Bref, je vais essayer de rapporter ici un fragment de la conversation que j'eus (mardi dernier) avec Aurélie, qui pensait que les portraits de moi qui se trouvaient sur ce site avaient été pris par mes proches (et, en particulier, par ma compagne), et que je devais être drôlement casse-bonbons (my words, not hers) de solliciter ainsi, constamment, des photographes pour me tirer les lumières du nez (ditto).
Ainsi, rassurons tous ceux qui auraient encore des doutes : la série des autoportraitures a pour principe intangible et infrangible la capture du sujet par l'appareil photographique tenu à bout de bras (gauche, en général). Quelques bidouillages sont parfois possibles, comme dans l'image publiée ici même il y a un an, qui n'avait attiré aucun commentaire (alors, il serait temps : lâchez vos comm's ! (au niveau du mental)). Dans ce cas précis, il s'agissait d'effacer la partie droite de la photographie, qui représentait mon fils, et ce non pour de basses raisons narcissiques, mais parce que je me suis vu interdire formellement, par sa mère, de publier des images d'icelui on-line (point de vue que je partage).
Sinon, toujours le 9 décembre 2005, C. et moi avions passé une heure agréable aux Bons Enfants, pour l'exposition des Petits Formats ; ironie des dates, nous devons aller cet après-midi à Truyes (uuuiiiiiiiiit!) pour le Salon du Petit Format (qui s'achève demain).
12:10 Publié dans Autoportraiture, Comme dirait le duc d'Elbeuf, Sites et lieux d'Indre-et-Loire | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : Ligérienne, Photographie
Commentaires
Pas de déformation pour notre conversation. En récompense, vous avez le droit de vous amuser sur ces phrases :
Je n’ai pas de rebords à mes épaulettes,
Chérie, tu sais, c’est toi.
Qu’est-ce qu’ils endurent quand ils s’accolent !
Écrit par : Aurélie | samedi, 09 décembre 2006
Ce sont des contrepèteries... et je me demande bien ce que certaine admiratrice de Fanny Burney penserait de la troisième... hmmmm ??
Écrit par : GC | dimanche, 10 décembre 2006
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