mardi, 23 janvier 2007
Lorsque Flore / sort / de l'or du bal
Jeudi à peine croisé la Kangoo de mes parents, qui arrivaient dans notre rue alors que je filais à la fac – soir, pluie, grisaille, voitures et vrac partout sur Tours – sur le pont Mirabeau chanter la vitre ouverte encore et encore Lorsque Flore avec la scie musicale et les tintinnabulements d’origine – peut-être même à tue-tête une fois la cassette arrêtée Ce sont les noms des mots maintenant assis sur une marche de l’escalier Thélème – écrivant sur au dos d’une simple carte postale – j’attends le début de la conférence d’ouverture
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J’avais envie de saluer ma mère avant de filer en ville
sans doute à cause du rêve affreux de la nuit dernière.
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Mardi donc ce matin, oui à peine au bas de la rue du Nouveau Calvaire cette chanson se lance, s’étend dans l’habitacle, commence – froid hivernal après tant de semaines de douceur, flot discontinu des cars et des bus – sur le pont Wilson me rappeler les milliers de souvenirs liés à cette chanson, depuis onze ans déjà Ce sont les sons des noms maintenant de retour chez moi pianotant – écrivant dans ces carnets toujours compulsivement – je songe à la rubrique Autres gammes, qui pourrait accueillir les fragments souvent rêvés d’une autobiographie aux ritournelles.
12:12 Publié dans Autres gammes, Ecrit(o)ures, Moments de Tours | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : Ligérienne, Chanson française, écriture
Commentaires
RECOMMANDATION AUX TOURANGEOTS ... VISITE DU BOIS DE PANZOULT ...
Écrit par : ANTIRACKET | mardi, 23 janvier 2007
Euh, le TourangEAU connaît... et alors ?
Écrit par : Guillaume | mardi, 23 janvier 2007
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