mardi, 23 janvier 2007
Sainte Radegonde, un dimanche après-midi
Dans un trou de vert bétonné, entre des dédales de ruelles, un tennis recouvert de mousse et sans filet, les piquets tordus et rouillés.
En face, un bête bloc gris aux quatre paires d'yeux sans facettes. Il ne pleut même pas d'orangeades. Au loin, je suis hanté, et diverses beautés se reflètent quand même, trop loin, par delà les places de parking encore & toujours
bétonnées.
03:30 Publié dans Kleptomanies überurbaines | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : Ligérienne, Photographie
Commentaires
Hmmmmmmmmmm, dimanche appétissant!
Écrit par : aurelie | mardi, 23 janvier 2007
Sainte Radegonde semble en effet un lieu idyllique, et par le nom et par l'aspect !
Écrit par : fuligineuse | jeudi, 25 janvier 2007
Il y a de très jolis coins à Sainte Radegonde : l'abbaye de Marmoutier, la rue qui mène de la Poste à l'arrière de l'abbaye (et dont le nom m'échappe), le belvédère au-dessus de la Loire.
("Mais alors, pourquoi as-tu photographié un court pourri, hein ?")
Écrit par : Guillaume Cingal | jeudi, 25 janvier 2007
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