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jeudi, 19 avril 2007

Tête de veau & tripoux

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Tiens, en ce 11 février, si je n'ignorais pas l'existence du pédant Juan Asensio, je n'avais pas encore goûté au brouet saumâtre de sa bile (qu'il prend pour du vitriol) ni à sa totale absence de sens de l'humour (qu'il déguise sous des dehors de sauvageon en croyant qu'il s'agit de sarcasmes)).

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Ajout de 16 h 15 :

Constatant que Juan Asensio avait enfin accepté d'ouvrir son blog aux commentateurs, je me suis permis - très légère moquerie par rapport aux tombereaux d'insultes dont le Basque fourbe m'inonde depuis un mois - d'y ironiser sur l'usage immodéré et infondé qu'il y fait des citations. Ayant reçu pour toute réponse du pseudonyme Ben une explication de texte du modus citandi qui ferait honte à un élève de seconde, j'ai écrit le commentaire suivant, après quoi j'arrêterai de ferrailler contre ces moulins à vent d'outre-Bidassoa :

Bien entendu, citer est faire acte de culture. Croyez-vous franchement que je critiquais le fait de citer en soi ? Avez-vous pu imaginer pareille imbécillité ? Je me contentais de pointer, assez ironiquement, la façon qu'a ce cher Juan Asensio de faire ce qu'il reproche aux autres...

Citer, oui, et plutôt deux fois qu'une... "nous ne faisons que nous entregloser", n'est-ce pas. Un centon peut être extrêmement stimulant, écrit dans un esprit particulier, avec un souci d'analyse particulier.

Ce n'est malheureusement pas le cas du Stalker, du moins dans ce billet (mais aussi dans de nombreux autres). Sa seule compétence consiste à transformer les hyperliens pointant vers mon blog en hyperliens pointant vers sa petite crotte pseudo-borgésienne : en fait, il a raté sa vocation et aurait dû être ingénieur informaticien. Pour cela, peut-être, il eût été autre chose qu'un imposteur au petit pied.

Puisque, fidèle en cela à son ascension, il continue de bafouer le droit à la libre expression en modifiant les commentaires publiés, je ne répondrai plus... surtout s'il s'agit de répondre à des anonymes dont le surnom, ne dépassant pas trois lettres, est une troncation postérieure sans charme et sans inventivité.

Commentaires

C'est une brasserie auvergnate ?

Écrit par : Lightman | jeudi, 19 avril 2007

"Tête de veau"...

Écrit par : Chloé | jeudi, 19 avril 2007

Si la tête de veau y est correcte, vous êtes notre (avec l'Irremplaçable) invité quand vous voulez (plus la petite Chloé, histoire de faire baisser la moyenne d'âge).

Pour ce qui est de Juanito, je voulais vous signaler que les commentaires étaient ouverts, pis j'ai oublié. Cela dit, ils ne le sont QUE sur un message, hein...

(Je lui prépare un petit festival, à celui-là, vous m'en direz des nouvelles...)

Dernière chose, question au distingué angliciste que vous êtes : comment prononce-t-on :
1) Enid Blyton
2) le prénom "Neve".

Merci d'avance...

Signé : le monoglotte non repentant.

Écrit par : Didier Goux | jeudi, 19 avril 2007

i:nid blaitn
ni:v
(...je suppose, hein (le signe [i:] indique un i long))

Écrit par : Guillaume Cingal | jeudi, 19 avril 2007

Ah ben... merci ! Je vous demandais ça, en tant que très vieux lecteur du club des cinq et parce que, de façon plus récente, la comédienne Neve Campbell me provoque parfois des érections incontrôlables. Donc, si jamais je la rencontre, je ne voudrais pas compromettre le peu de chances que je pense avoir (et pas un mot à Irrempe, please...).

Écrit par : Didier Goux | jeudi, 19 avril 2007

Mais c'est qui cette Neve ?

Écrit par : Irremplaçable Épouse | vendredi, 20 avril 2007

Mais qu'est-ce qu'elle fiche ici, l'Irremplaçable ? C'est drôlement mal fréquenté, ce blog...

Écrit par : Didier Goux | vendredi, 20 avril 2007

Oui, c'est vrai : il va falloir dégérardevilliériser tout ça...

Écrit par : Guillaume Cingal | vendredi, 20 avril 2007

Les commentaires sont fermés.