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dimanche, 29 avril 2007

Embarras

Quelle ne fut pas ma surprise, en parcourant ce matin l'exemplaire de Libra de Don DeLillo emprunté au cours de la semaine à la bibliothèque d'anglais des Tanneurs, d'y trouver, scotchée sur la troisième de couverture, la photographie d'un ancien étudiant (que je croise encore fréquemment dans les couloirs) et d'une ancienne étudiante (qui suivait, l'an dernier, les cours de L3, dont mon cours d'analyse de textes littéraires, en parallèle de ses cours au conservatoire d'art dramatique), très évidemment en couple face à l'objectif, comme naguère dans les couloirs, quand je les y croisai, et, si je suis, bien sûr, tenté de "rendre" cette image à l'étudiant en question lors de notre prochaine rencontre (pas par moquerie ni persiflage, mais seulement pour lui rendre un bien privé dont je suis devenu par erreur (et temporairement) dépositaire), ce qui m'arrête, c'est aussi qu'il ne semble plus côtoyer la jeune fille en question, et même qu'il semble en côtoyer d'autres (et même, qu'il n'est pas certain qu'il s'intéresse réellement (ou prioritairement) aux jeunes filles). Tout cela est bien embarrassant...

Une hypothèse a été écartée d'emblée, je le signale avant que de mauvais esprits n'en réclament l'application : publier la photographie dans ce carnétoile.

Commentaires

Ah mais ! Puisqu'ils ne sont plus ensemble ! (Et pourquoi ne pas rendre la photo à la jeune fille, dans ce cas ? Ne la croisez-vous donc plus ?)



(N'empêche, quand on fait miroiter du potin, la moindre des choses c'est d'aller jusqu'au bout ! ça s'voit qu'z'êtes pas blonde...)

Écrit par : Chloé | dimanche, 29 avril 2007

Moi, je laisserais la photo dans le livre, il me semble (et je ne dirais pas à cette peste de Chloé de qui il s'agit).

Écrit par : didier goux | lundi, 30 avril 2007

1) On peut donner la photo au bureau des objets perdus de la bibliothèque, ou au responsable de la bibliothèque.
2) Après, on peut dire aux intéressés qu'ils avaient oubliée leur photo dans un livre de la bibliothèque, et qu'ils peuvent la retrouver.
3) S'ils sont intéressés, il prendront leur photo.
4) S'ils ne sont pas intéressés, le bureau gardera leur photo, selon la durée établie par le règlement.
GC, ça va? Il faut avoir embarras pour quelque chose dont on n'est pas responsable?

Écrit par : livre libre | lundi, 30 avril 2007

Vu que rien n'est par hasard, nous pouvons imaginer un conte sur cette photographie oubliée, pardon, scotchée sur la troisième de couverture de ce livre, par un ancien étudiant et une ancienne étudiante.
Par exemple ...

Écrit par : pat | mardi, 01 mai 2007

Par exemple, il faudrait surtout, pour l'inspiration, voir un peu de qui il s'agit...

Écrit par : Chloé | mardi, 01 mai 2007

Non, ça, c'est hors de question (mais ils sont très "good-looking" l'un et l'autre).

Écrit par : Guillaume | mardi, 01 mai 2007

Guillaume, je vous adjure de ne pas faiblir, face aux manoeuvres dilatoires et blondiformes de la jeune Chloé !

(Et si on la collait à la corbeille une bonne fois, cette hostie de calice de photo ?)

Écrit par : Didier Goux | mardi, 01 mai 2007

Non mais ! Z'avez pas vos 250 pages à pondre, vous ? Avec un peu de chance, un jour, deux étudiants y colleront leur photo, et on verra bien ce que vous en ferez à ce moment là. Et si vous jouiez un peu à faire comme dans les émission télé où on "cache" l'identité des gens à coup de petit rectangle brouillé sur les yeux (qui n'empêche absolument pas de reconnaître les personnes "cachées", mais chut !).

Écrit par : Chloé | mardi, 01 mai 2007

Les commentaires sont fermés.