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vendredi, 17 août 2007

Il me faut t'aimer - une pierre

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Ces deux autoportraits ont été saisis le 1er août dernier, à Hagetmau, à 17 h 07.
Dix-sept secondes très précisément les séparent.
(I swear it's true.)
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Le livre n'est pas juste là pour décorer : contrairement au précédent opus du flamboyant Portugais (Bonsoir les choses d'ici bas, abandonné au bout de 500 pages, comme les lecteurs de mon autre carnétoile s'en souviennent peut-être), celui-ci est superbe, envoûtant, tout en finesse, et surtout, d'une beauté si juste...
Dans l'oeuvre de Lobo Antunes, Il me faut aimer une pierre se situe tout près du pinacle, et donc de ces deux indépassables (me semble-t-il) sommets que sont l' Exhortation aux crocodiles et N'entre pas si vite dans cette nuit noire. (Les titres originaux, si bien sonnants pourtant, m'échappent.)

Commentaires

Si quelqu'un (pas moi, hein : c'est pour un ami...) vous disait qu'il n'a jamais lu cet auteur, vous lui conseilleriez de commencer par lequel ?

(Non, c'est juste pour voir si c'est le même que je recommanderais, moi...)

Écrit par : Didier Goux | vendredi, 17 août 2007

Pourquoi pas l'un des trois que je cite en dernier § ? (Cela dit, je n'ai pas tout lu, et je ne doute pas que le titre *Le cul de Judas* ne vous agrée particulièrement.)

Écrit par : Guillaume | vendredi, 17 août 2007

Y en aurait pas plutôt un avec celui de Marie-Madeleine ?

Écrit par : Didier Goux | vendredi, 17 août 2007

Ca y est, ca recommence, je n ai pas le temps de tout lire ni de tout commenter. Et comme d habitude, je ne connais rien des auteurs cites. Mon commentaire est le suivant, faute de mieux: le monsieur ci-dessus, disons Monsieur Unepierre n etait pas rase lorsqu il s est tire le portrait (oui, je sais, c est une reflexion bien feminine; c est neanmoins la premiere chose que j ai remarquee!)

Écrit par : aurelie | vendredi, 17 août 2007

Il se trouve, insolente demoiselle, que, contrairement à ce qu'indiquent vos calomnies, je me suis rasé chaque jour de cet été 2007 (ou d'autre chose, comme le veut certain refrain de certaine chanson de Mathieu Boogaerts). Au cas où l'expression "five o' clock shade" serait inconnue de vos services (alors que, les photos ayant été prises à 17 h 07, elle est on ne peut plus idoine), je me permettrai de citer un passage d'un livre qui compta pour beaucoup dans l'écriture des *Eglogues* de Renaud Camus :

"C'était l'un de ces types excessivement poilus qui, quel que soit le nombre de fois où ils se font la barbe dans une journée, ont toujours l'air un peu sale, peu lavé : et cela, franchement, c'était impossible !" (Giorgio Bassani. *Le jardin des Finzi-Contini* (1962). Traduction de Michel Arnaud. Paris : Gallimard, 1964, p. 135)

Voilà, c'est ainsi : ça plaît ou non. (Aurélie, semblable en ses goûts à Micol Finzi-Contini, la "focalisatrice" de l'extrait cité, hmmm... ?)

Écrit par : Guillaume C. | vendredi, 17 août 2007

He ben tu sais quoi? Il s appelle Paul !

Écrit par : aurelie | vendredi, 17 août 2007

Mais non, il s'appelle Denis Duparc. (C'est Paul Unetourtel qui me l'a dit.)

Écrit par : Guillaume C. | vendredi, 17 août 2007

Non, non, Paul !

Écrit par : a | samedi, 18 août 2007

Il s'appelle Denis Duvert et c'est Ingmar Tuborg qui me l'a dit sur son lit de mort.

Écrit par : Didier Goux | samedi, 18 août 2007

Chanson:
Triste et malheureux comme une pierre.

Écrit par : pat | dimanche, 19 août 2007

Louis Chedid dit qu'il n'est pas triste ni malheureux comme la pierre, mais sa voix est triste.

Écrit par : pat | dimanche, 19 août 2007

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