lundi, 14 janvier 2008
Pané coiffé ocre
12:33 Publié dans Autoportraiture | Lien permanent | Commentaires (15) | Tags : Ligérienne, Photographie
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Commentaires
Mon dieu c'est fou ce que vous avez l'air heureux, un sourire donnerait plus de lumière à votre image sans doute. Vous avez des enfants? Ecoutez-les un peu plus, écoutez un peu plus ce que les jeunes ont à vous dire d'ailleurs car ils ont peut-être plus de choses à vous apporter que vous ne le pensez. J'ai parcouru ce blog et ce qui en ressort c'est que vous ête quelqu'un de très cultivé, très intéressant mais aussi extrêmement mégalo et egocentrique et vous ne me semblez pas vous remettre en question bien souvent, en ce sens cela vous rend pédant. Si vous appreniez l'humilité vous donneriez l'image d'un homme qui aime la culture mais qui sait également écouter ce que l'autre a à dire sans lui renvoyer des sarcasmes en pleine face... Cela donnerait de vous l'image du parfait professeur, la perle rare; et l'amour de la vie, de l'échange se ressentirait déjà plus sur votre visage! Allez un peu de travail non-académique!
Écrit par : Yaël | mardi, 05 février 2008
Il est vrai que, de votre côté, vous ne vous permettriez jamais d'être arrogant au point de donner, par exemple, des leçons morales et existentielles à quelqu'un dont vous ne connaissez la personnalité que par Web interposé. Non... jamais vous n'iriez imaginer que votre point de vue est le seul valable, car ce serait trop "mégalo"...
Vous avez donc raison : je vais prendre exemple sur votre grande humilité et me mettre à sermonner vivement tous les internautes.
Écrit par : Guillaume Cingal | mardi, 05 février 2008
Ciao Guillaume, on a juste organisé un salon du livre italien : on va le voir la prochaine fois ?
http://www.lpsansfrontieres.it/index.html
Écrit par : pat | mercredi, 06 février 2008
Non je ne me permettrais jamais d’être arrogante, c’est peut-être mes cinquante-cinq ans qui me poussent à évoquer ce qui me passe par la tête aux personnes que je trouve intéressante, car j’ai bien évoqué votre culture et votre côté captivant.
Comme on dit, qui aime bien châtie bien. Dans ce genre de messages, je le conçois, l’on a tendance à remarquer le négatif. Seulement, il est vrai qu’il y a ce quelque chose de pédant dans vos manières qui assombrit vos talents.
Par ailleurs, je ne vous connais pas que par Web interposé, j’ai suivi l’un de vos séminaires sur Dylan, que j'adore, quand j’étais de passage à Tours et, ayant étudié longtemps le comportement humain (même si j’avoue que certaines méthodes d’études ne peuvent s’appliquer à tout le monde ou se trouvent perpétuellement faussées), je dois dire qu’il y avait bien quelque chose d’extrêmement suffisant dans vos gestes et dans vos manières. J’ai aussi entendu murmurer certains élèves à votre propos : « il n’est pas juste, il est cassant, trop sarcastique, il me fait peur, très peur, il n’essaie jamais d’être compréhensif » et tout ce qui s’en suit. C’est ce qui m’a fait réagir sans doute…
Après tout ce temps j’ai trouvé votre blog, certains faits se sont confirmés et, vieille aliénée que je suis, j’ai sous-entendu certaines choses qui vous ont visiblement vexé, vous m’en voyez navrée. Vous êtes définitivement un homme passionnant, mais depuis de nombreuses années je remarque cette tendance chez les enseignants à se suffire à eux-mêmes, ou à leurs bouquins, sans même remarquer que tous ces jeunes écervelés à qui ils enseignent ont peut-être quelque chose à leur apprendre. Je regrette que l’enseignement prime sur un côté humain qui rendrait les études beaucoup plus agréables. Mais les choses mettront bien plus de temps à changer que les théoriciens ne le pensent.
Ah oui, il est vrai que je n’irais jamais imaginer que mon point de vue est le seul valable, puisque je me remets en question très souvent et que j’aime même entendre de fâcheuses vérités à mon sujet de la part de certains chercheurs. Cela serait, en effet mégalo, tout comme la création d’un blog de la sorte est mégalo, et retrace bien malgré vous, votre personnalité. Attention, ce n’est pas une critique gratuite, juste un fait : un blog est bel et bien une forme de mégalomanie.
Si vous prenez exemple sur ma « grande humilité » et que vous vous mettez à sermonner vivement tous les internautes, cela pourrait être amusant et utile à certains après tout, moi y compris si j’avais un blog…
Écrit par : Yaël | mercredi, 06 février 2008
Il se trouve que je n'ai jamais donné le moindre "séminaire" sur Dylan. Je me suis contenté d'organiser une journée de traduction de textes de Bob Dylan le 7 avril dernier, et c'est François Bon qui avait animé cette journée. Je pense donc que vous affabulez complètement et que, si je suis mégalo, vous êtes, pour votre part, complètement mythomane. Je vous serais donc très reconnaissant d'aller déverser votre philosophie de café du commerce ailleurs, sans quoi j'aurai l'immense plaisir mégalomane de censurer vos élucubrations mensongères.
Écrit par : Guillaume Cingal, cassant et sarcastique | mercredi, 06 février 2008
Je suis démasquée! Bravo! Je ne suis pas allée à ce que j'appelle tout de même un séminaire, en ce sens je me suis laissée emportée par ma mythomanie! Peut-être que je le fais pour défendre ma fille, je ne sais pas, vraiment. En tout cas, j'étais bien dans les couloirs quand vous êtes sortis, je vous ai bien vu, et vous avez parlé avec des étudiants. Bref apercu donc. Peu après j'ai parlé avec une certaine Pauline ou peut-être Amandine, ou Claudine... bref je ne sais plus... et j'ai eu les échos que je vous ai exposé plus haut. Croyez-moi ou non mais le fait est là. Maintenant ma mythomanie a bel et bien des limites et je garderai donc ma philosophie de café pour moi-même et mes élèves. En tout cas, vous êtes un personnage très amusant!
Écrit par : Yaël | mercredi, 06 février 2008
>Guillaume: là tu viens d'en pêcher un gros !
Écrit par : Zette | jeudi, 07 février 2008
"Yaël" Zimmermann! Ton côté mytho... ça vient de sortir? Si c'est pour cela que tu m'as refourgué ce lien, tu pouvais t'en passer! A 55 ans, il serait peut-être temps de revoir le bien fondé de tes arguments! Tu es sans doute la prof la plus fantasque que l'EHESS est connu mais ce n'est pas la peine de le faire savoir à tout le monde! Cher monsieur Cingal, veuilliez pardonner mon amie, elle s'est laissée emporter, je tâcherai de la reprendre demain dans les couloirs! Cela dit, je vous assure que sa philo vaux bien mieux qu'une philo de café et que ce qu'elle vous a exposé est bien plausibe, même s'il est vrai qu'elle devrait dormir un peu plutôt que d'ajouter des sornettes, n'est-ce pas Yaël!!!
Écrit par : Blandine Bril | jeudi, 07 février 2008
"Yaël" Zimmermann! Ton côté mytho... ça vient de sortir? Si c'est pour cela que tu m'as refourgué ce lien, tu pouvais t'en passer! A 55 ans, il serait peut-être temps de revoir le bien fondé de tes arguments! Tu es sans doute la prof la plus fantasque que l'EHESS est connu mais ce n'est pas la peine de le faire savoir à tout le monde! Cher monsieur Cingal, veuilliez pardonner mon amie, elle s'est laissée emporter, je tâcherai de la reprendre demain dans les couloirs! Cela dit, je vous assure que sa philo vaux bien mieux qu'une philo de café et que ce qu'elle vous a exposé est bien plausibe, même s'il est vrai qu'elle devrait dormir un peu plutôt que d'ajouter des sornettes, n'est-ce pas Yaël!!!
Écrit par : Blandine Bril | jeudi, 07 février 2008
>Zette, j'avoue que Zimmermann est un peu 'slippery' ces temps-ci mais de là à la comparer à un trophée de pêche, point d'exaggération s'il vous plait! Cela dit, je peux confirmer ses fonctions, son âge, son nom... mais alors son excurtion tourangelle imaginaire, franchement, ça me pose une colle!
Écrit par : Blandine Bril | jeudi, 07 février 2008
Je remercie Mme Bril de confirmer mes doutes, et d'avoir levé le voile sur la véritable identité de Mme Bénédicte Zimmermann. Avouez qu'une chercheuse appelée Zimmermann qui assisterait à un séminaire (inexistant) sur Dylan, ce serait du pur Vila-Matas !
Sur le fond, j'aimerais signaler que je suis très conscient du fait que certains étudiants me trouvent cassant, voire même que certains, paraît-il, ont peur de moi... Toutefois, je continue de trouver inimaginable qu'une personne de vingt ans ait peur d'un pauvre type de 35 balais qui n'a absolument aucun pouvoir sur elle, ce d'autant plus que je n'ai jamais l'intention d'effrayer qui que ce soit, bien évidemment. Les étudiants qui ont cherché à me rencontrer, soit à la fin des cours soit lors de mes (nombreuses) heures de réception, savent que, si je suis exigeant, je suis également prêt à prendre le temps d'encadrer le travail personnel des étudiants en difficulté afin de les aider à progresser et à combler leurs lacunes. Sarcastique, en revanche, je ne le suis jamais, ou plutôt : jamais avec les étudiants. Je peux, d'aventure, lâcher quelques sarcasmes au sujet des textes que nous traduisons : syntaxe incohérente de tel journaliste pourtant renommé, charabia sociologisant de tel ponte à la mode...
Mes défauts, en tant qu'enseignant, je les connais : grimaçant, digressif, parfois brouillon. Il m'arrive même, et c'est ce dont je suis le moins fier, de "déraper" dans l'accentuation de certains polysyllabiques. Un jour, j'ai discuté avec une ancienne étudiante qui avait suivi un cours de grammaire de première année en L.E.A., et qui, devenue serveuse dans un café, m'avait dit à peu près texto : "vous n'êtes pas commode au niveau notation, mais vous êtes apprécié parce que vous faites toujours l'effort de bien expliquer". Moi qui ai toujours peur d'avoir "loupé le coche", raté mes explications, etc., ça m'avait beaucoup surpris, et, le dirai-je au risque de paraître trop mégalo, un peu soulagé.
Donc, à côté de tout cela, les leçons de morale d'une collègue mythomane en fin de carrière qui parle du haut de sa planque à l'EHESS ne me font ni chaud ni froid...
Écrit par : Guillaume Cingal | jeudi, 07 février 2008
Mais je n'en doute pas! Pour l'anecdote, vous avez apparemment eu la fille de Yaël en cours. Elle est revenue avec des notes catastrophiques alors qu'elle brillait partout ailleurs, cela l'a empêché d'obtenir une mention. Elle n'a donc pas eu d'éloges à votre sujet et étant quelque peu influencée mais elle m'a dit qu'elle ne comptait plus revenir faire ses "elucubrations mythomanes" comme vous le dites. Je pense qu'il faut passer au dessus, ces propos sont vraiment stupides, pas la peine de remuer le couteau dans la plaie! Autant changer de sujet pour de bon! Je vous suggère de bien vouloir songer à supprimer ces commentaires, qui font bien tâche sur votre blog et auxquels je ne trouve vraiment rien d'amusant, je vous en serais obligée. Par ailleurs, si vous comptez écrire sur NEIGE, j'attends de voir! Bien à vous!
Écrit par : Blandine | jeudi, 07 février 2008
La seule chose qui fait quelque peu tâche sur cette page, il me semble, ce sont les propos décousus et incohérents de cette dame dont je ne sais plus s'il faut la nommer Yaël, Bénédicte, Mme Zimmermann, ou autre chose encore... Je compte les laisser en l'état, car, si votre hypothèse d'une rancune parentale tout à fait subjective est exacte, ils démontrent combien certaines personnes peuvent se permettre de raconter n'importe quoi sous couvert de pseudonymat...
Quant à la situation de parole de Mme "Comment La Nommer" Zimmermann, elle est cocasse. L'EHESS, rappelons-le, est cette place forte des intellectuels de gauche qui prônent la mixité sociale, le métissage, etc., et qui signent tous unanimement une belle pétition dès qu'on "menace" de les déplacer de leur sacro-saint Paris bourgeois pour les installer en banlieue... Alors, me faire la leçon à moi, qui enseigne à des étudiants issus majoritairement de milieux difficiles ou modestes, et me dire que je devrais être à l'écoute des "jeunes", ça bat tous les records...
Écrit par : Guillaume Cingal | jeudi, 07 février 2008
Je ne pense pas qu'il soit guindé d'avoir placé sa fille dans votre établissement, je ne ferai donc pas d'un cas une généralité, cela corromprait la "mixité sociale". Par ailleurs, tout comme Yaël, je n'ai jamais souscrit à ce genre de "pétitions". Aussi, il n'est pas de votre ressort de juger du prestige de notre école; nous ne sommes pas pour autant aventurées à juger la votre.
Écrit par : Blandine | jeudi, 07 février 2008
Personnellement, je n’ai jamais vu Guillaume être cassant ou tyrannique avec ses étudiants. Par contre, il est vrai qu’il lui arrive de les torturer pendant ses heures de réception, à l’aide d’instruments qu’il garde sous clé dans l’armoire du bureau. Mais uniquement sur rendez-vous.
Écrit par : O., un collègue qui préfère garder l’anonymat… | jeudi, 07 février 2008
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