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dimanche, 31 janvier 2010

4.1. Parier des vrilles

31 janvier, une heure de l'après-midi.


Avant de gravir l'Annapurna.

Je suis grandement intrigué par la synagogue.

Sinon, j'ai décidé de me rapatrier plus vers le centre, mais de rester encore une bonne huitaine. Pourtant, je crois qu'il n'y a pas grand chose à attendre de cette ville, en matière de "distractions" culturelles : tout de go, c'est ce qui me va. Je veux aussi me poser, prendre le pouls de cette société (en quelque sorte (que c'est pompeux (le biryani d'agneau n'arrive pas, je peux dégoiser sur mon clavier))), et aussi rayonner avec ma Prius (restée à l'hôtel sur Bellerive). Tout un programme. J'ai d'autres projets, mais chut ! j'écrirai cela ce soir à l'hôtel, peut-être.

Et tant que je n'oublie pas, tant que n'arrive pas le biryani d'agneau, j'ai un grand regret (outre que je ne comprends pas grand chose de la synagogue) : que l'Auberge de la Grenouille Marinée (c'est moi qui traduis : oui, il y a un Pickled Frog Hostel sur Liverpool St.) ne soit pas un hôtel justement. Il eût été amusant, ni Aussie ni Pommie (ni d'ici ni paumé non plus) de m'y installer.

Mais toutes les connexions sémiotiques semblent vouées à partir en vrille ici.

 

23:29 Publié dans Oz | Lien permanent | Commentaires (0)

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