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samedi, 17 septembre 2011

Coings & pruneaux

Cette année, nouveau concept, déjà plusieurs fois testé : les giboulées de septembre.

Les lampadaires du quartier des sçavans éclairent trop, beaucoup trop.

Je n’ai rien fait de la journée, des bricoles. (Je n’ai surtout rien tiré de ces bricoles. Ce billet comme une tentative de sauvetage.) Choses vues : un filet bleu très curieux, tout autour du terrain de foot, à la Béchellerie. ­— Les juniors d’Azay-Cheillé ont mis la pâtée (comme on disait du temps de mon enfance) ou une belle valise à ceux de Saint-Cyr. Neuf buts, dont cinq dans les vingt dernières minutes.

Choses lues. — Plusieurs poèmes du recueil Man of Glass. Je voudrais traduire (pour Darts on a slate ?) celui de la page 55. Poursuivi la lecture de Crossbones sur le sofa, à l’étage, tandis qu’Oméga jouait avec les vingt petits kangourous graciles de quatre couleurs (les mêmes couleurs que celui du jeu des huit familles Oui-Oui, également à l’honneur ce samedi). Le matin, pendant Afrique du Sud / Fidji, lu des passages de Pour l’autobiographie. À peine feuilleté On the Origin of Stories qu’un collègue m’a offert pour le remercier d’avoir corrigé ses copies en juin, lorsqu’il a eu une péricardite.

Bricoles, donc. Choses faites — aucune, de la compote, des jeux, la vie. — Toujours écrit aucun des billets sur les livres qui s’entassent (la syntaxe de cette phrase s’impose).

À demain pour autre(s) chose(s).

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