dimanche, 20 novembre 2011
2011 / 2011
Comme cela fait plusieurs jours que je n’écris pas, et comme je ne lis guère non plus, accaparé par diverses tâches et par ma famille, ce n’est pas un hasard si je choisis la date d’aujourd’hui pour tenter de fixer quelques ébauches, après avoir commencé (avant-hier : hier soir, je suis rentré trop tard du dîner pour pouvoir lire au lit) le petit livre que Ryoko Sekiguchi consacre au tremblement de terre, au tsunami et à l’accident nucléaire de Fukushima. Au cours de l’année qui vient, je vais traduire un des livres de Verna Aardema, et apprendre le polonais, notamment pour pouvoir traduire – en anglais, en français et en allemand – les poèmes d’Eugeniusz Żytomirski.
Deux de mes amis ne cessent de m’écrire, en ce moment, pour me faire relire des pages de leur thèse. Numance travaille sur les rois d’Albanie, et, dans cette perspective, s’est beaucoup arraché les cheveux pour déterminer l’importance du père du roi Zog Ier, Jamel Pacha (qu’en albanais on doit orthographier Xhemal Zogolli) ; Manuel fait porter ses recherches sur la nation Siksika, et notamment sur la figure complexe du chef Aatsista-Mahkan (dont la belle tête est parvenue jusqu’à nous grâce à une photographie sépia d’Edward S. Curtis)
Drôle de vie, année bizarre à l’horizon.
10:25 Publié dans Une année de 398 jours | Lien permanent | Commentaires (0)
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