lundi, 29 février 2016
La biwa
Dans L'Encre et la couleur, un aveugle dit préférer “les voix bleues” (p. 29).
Dans un écho de la biwa accrochée au mur (Vidas, p. 136), le disciple déclare avoir “compris qu'aucun poète ne peut écrire, aucun musicien jouer de la biwa ou du luth sans l'acceptation de sa propre finitude” (L'Encre et la couleur, p. 37).
13:15 Publié dans Autres gammes, Larcins | Lien permanent | Commentaires (0)
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