mercredi, 31 janvier 2018
66 secondes de lecture, 21 : à la verticale
Innovation, pour clore la troisième semaine de publication : le format vertical, qui a permis — seul avantage ? — les floutages intempestifs du texte.
Aujourd'hui, un texte extrait d'une des nouvelles du Fil des missangas, un des livres que j'offre quand je veux vraiment donner une idée de ce qu'est la complexité de ce qu'on appelle, pour simplifier, littérature africaine. Mia Couto est un immense écrivain, mais ce n'est pas cela : ce livre, magnifiquement traduit du portugais par Élisabeth Rodrigues Monteiro, a quelque chose de quintessentiel.
En bonus : le billet qui disparaît, avec l'apparition de celui-ci, de la page d'accueil du blog
08:41 Publié dans 66 SECONDES DE LECTURE, Affres extatiques | Lien permanent | Commentaires (0)
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