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lundi, 28 juillet 2025

28072025

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Hier soir, nouvelle randonnée, cette fois-ci un peu plus courte (huit kilomètres), autour du château de Chenonceau, en passant par la gare de Chisseaux, le tombeau de Louise Dupin – que j’ai évoqué dans le premier « livre pauvre » que nous avons confectionné aujourd’hui, Claire et moi – le barrage à aiguilles (véritable curiosité technique, il faudra que je montre cela à mon père), et, avant le retour dans le village, la maison éclusière où les propriétaires du stand de location de canoés ont aussi ouvert une sorte de tiers lieu où l’on peut boire un coup et même manger sur le pouce, dans d’improbables canapés en velours ou d’anciennes nacelles de montgolfière.

 

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Aujourd’hui, j’ai écrit ma recension du roman de Peace Adzo Medie en traduction française, Fleurs de nuit ; pas eu le temps de creuser, car à l’échelle d’un bref compte rendu ça ne rimerait à rien, mais je suis tout de même intrigué par l’hommage assez évident, via le titre (Nightbloom – mais est-ce via le titre seulement ?) à Nightwood de Djuna Barnes : je me rappelle assez confusément ce livre, lu il y a longtemps. J’ai également fini de lire l’essai important et dense de Vincent Debaene, La Source et le signe.

 

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