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mardi, 24 avril 2007

Azay, pour composer chastement mes églogues

Dimanche en moins huit (?), nous avons visité, une nouvelle fois, le château d'Azay-le-Rideau.

medium_Azay_15_avril_2007_010.jpgC’était la pleine saison des glycines, qui fleurissent partout, et même dans les recoins urbains les moins ragoûtants. Il y avait, à l’accueil, une étudiante très gentille, Marianne, que je connais un peu quoique je ne l’ai jamais eue dans un de mes cours : très active au théâtre universitaire, elle a également suivi l’atelier de traduction des Merry Wives of Windsor qu’animait Markowicz l’an dernier et que j’encadrais (avec Lucile Arnoux-Farnoux).

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Le château d’Azay est toujours aussi beau, planté fièrement mais avec tendresse au milieu de son carré de douves remplies.

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Le château recèle de nombreuses richesses, et notamment un mobilier impressionnant, dont, curieusement, il n’est que rarement fait mention sur les cartouches des diverses salles. De même, pas trace d’un quelconque intérêt bibliographique pour ce mobilier dans la librairie du château.

 

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Après la visite, nous nous sommes désaltérés dans l’un des cafés bordant la ruelle qui conduit du château au bourg, et il se trouve que C. attrape le virus de l’autoportrait à bout de bras, qui pourtant me vaut de nombreux sarcasmes. Allons, il me reste (outre les tasses qu'aime tant certain cuistre post-artaldien) les photographies de verres de Coca vus de haut.

 

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Enfin, tant que je n'en suis pas réduit à montrer mes fesses... (Je pense qu'une telle exhibition ne serait pas vue d'un très bon oeil par ma hiérarchie de l'Université François-Rabelais. Pourtant, la flûte de Pan urge !)

 

 

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Achevons ce parcours dominical quelque peu échevelé par une énigme pour rinaldo-camusiens (ou pas) : buis cloqué n'est pas le siège.