vendredi, 23 septembre 2005
Moins que jamais serein
Les trois dernières journées ont vu la culmination de ces trois dernières semaines de folie, à l’université, où j’ai passé mon temps à des tâches aussi multiples que minutieuses et, comment dirais-je, marquées du sceau de la matérialité la plus quotidienne. C’était mercredi la réunion de rentrée des différentes composantes et années, et, en tant que responsable de deux cycles distincts, je n’ai pas cessé d’éteindre le feu ici et là… Depuis avant-hier après-midi, où je présidais à la remise des emplois du temps de L3 Anglais, j’ai rencontré au moins soixante-dix étudiants en entretien privé pour x demandes aussi variées qu’inextricables. J’en passe et des meilleures.
Pendant ce quasi-mois à me démener pour que la rentrée ait lieu dans les meilleures conditions possibles, ma recherche n’a évidemment pas avancé (j’avais deux articles à rendre, et baste…) et je ne dis rien des préparations de cours, lesquels seront pourtant assurés dès lundi avec verve et, je l’espère, brio ; en tout cas, ils seront prêts. J’ai tout de même créé, hier, en quelques minutes, un blog pour ces cours du premier semestre 2005 : il s’appelle Cours 2005, tout simplement.
Ce soir, je me rends à la réunion des parents de l’école maternelle.
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Je m’interroge souvent sur le titre Touraine sereine, qui désigne un carnet de toile dans lequel il n’est pas toujours (souvent) question de Touraine, et dont l’auteur est aux antipodes de la sérénité. J’aime les moments sereins, les instants de sérénité, mais mon tempérament ne les facilite pas.
17:16 Publié dans Flèche inversée vers les carnétoiles, Moments de Tours, WAW | Lien permanent | Commentaires (2)