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mardi, 28 novembre 2006

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Un jeune étourdi de Benais

S'écria (fort) : "Je le connais ! "

Sans le miroir,

C'est sans espoir

De faire s'étonner l'étourdi de Benais !

Commentaires

Quelle chute bien amenais.

Écrit par : zvezdo | mardi, 28 novembre 2006

Décidément, vivent les limericks!

Écrit par : VS | mercredi, 29 novembre 2006

Je sens une très forte charge ironique dans les propos de Madame de Véhesse. Tout ne peut pas plaire à tout le monde (Guy-heu, Guy-heu!!!).

Écrit par : Guillaume | mercredi, 29 novembre 2006

Mais pas du tout.
(Tu exagères, tu sais très bien que j'en réclame. Je t'accuse de faire de la pêche aux compliments. Je trouvais celui-là à la fois drôle et plein d'inventions, avec le choc de la surprise au moment où l'on comprend que c'est lui-même que l'étourdi a reconnu.
(Voilà : tu es content?))

N'empêche, tu m'étonnes, je ne crois pas faire souvent de l'ironie dans les commentaires, je sais combien c'est délicat à manipuler et sujet au malentendu.

Écrit par : Ze Zette | mercredi, 29 novembre 2006

"It's not because you're paranoid thatt there's not actually someone after you."

(Merci !)

Écrit par : Guillaume | vendredi, 01 décembre 2006

J'ai compris : ce qui me plaît dans ce limerick, c'est qu'il est le miroir tendu au lecteur et que le lecteur SE reconnaît dans le benêt.
Très fort et très drôle.

Écrit par : VS | mardi, 05 décembre 2006

Tu reviendras à Region, me le copier cent fois ! Benête Zette toi-même !

Écrit par : Juan Benet | mercredi, 06 décembre 2006

Les commentaires sont fermés.