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mardi, 09 janvier 2007

Ni fée ni affaire

Ce matin, entre plusieurs rendez-vous et surveillances d'examen, j'ai réussi (dans l'université presque déserte (après un lundi peuplé, du matin jusqu'au soir, par les étudiants de troisième année de L.E.A.) et avant d'aller me faire doucher sans parapluie) à coincer l'oiseau Nico Nu, affairé à refaire son tableau vert (qu'à part moi j'ai depuis longtemps baptisé (sur le modèle de "l'escalier le formidable") "le vert-igineux") et à déposer un panonceau Interdit de cracher. Comme, contrairement à l'ami Simon, je ne me promène pas avec mon appareil photo sur mon lieu de travail, vous devrez vous contenter de mes mots... et d'attendre ce qu'en dira le Blog Oranginal, toujours sur le pont dès qu'il s'agit d'élucubrations niconuesques. Il se trouve aussi que j'ai rapidement engagé conversation avec l'artiste, après avoir pu admirer enfin de visu (et pas en photo, once again) ses premiers essais de signalétique, que je trouve très réussis, dans le genre loufoque propret.

Bien entendu, tout ce billet ne doit avoir ni rime ni raison pour ceux qui ne connaissent pas le premier mot de toute cette affaire, et à qui je ne saurais trop conseiller de lire les divers textes de Simon, marqués en lien ci-dessus.

 

En écoute : Wayne Shorter Quintet. "Speak No Evil" (Speak No Evil, 1964.)

Quel phrasé, quelle atmosphère en ténèbres & magie glorieuse, comme si un vieillard couvert de givre sentait renaître la vie à fleur de peau ! Ce n'est pas ça ici.

Commentaires

Voilà une déferlante de liens qui pointent vers chez moi ! J'ai également croisé Nico (et ouè, j'l'appelle par son prénom :) ...) hier, c'est donc que je t'ai loupé de peu. Quelques étudiants en journalisme de l'IUT tourangeau ont insisté pour qu'à leur caméra je confie, outre les deux chtars qui m'embellissaient alors le visage, mes impressions sur le boulot de Monsieur Nu. J'ai pris quelques photos (moi) que je publierai peut-être. J'imagine qui que c'est toi qui, ce matin, as un inscrit sur le tableau des" voeux vert-igineux" ... Sur ce bonne journée, sieur Cingal, je vais béhuter car c'est enfin ouvert.

Écrit par : Simon | mercredi, 10 janvier 2007

Ah, c'était toi aussi, "ni fée, ni affaire" ? Ca vient de me revenir ...

Écrit par : Simon | mercredi, 10 janvier 2007

Des chtars ? Béhuter ? ça néologise ferme.

(J'ai aussi croisé les étudiants de l'IUT, qui avaient l'air goguenitatifs.)

Écrit par : Guillaume | mercredi, 10 janvier 2007

Les commentaires sont fermés.