mardi, 30 janvier 2007
Sans sandow
De l'érotisme (sportif) à petit budget...
Elle s'arrêta devant un sandow accroché au mur, prit les poignées de l'appareil entre ses mains fines et pourtant nerveuses, raidit les extenseurs de caoutchouc et, pendant cinq minutes, affola Marc Vanel par des attitudes insensées, des exercices difficiles, des gymnastiques éblouissantes auxquelles se prêtait son corps assoupli.
(Félicien CHAMPSAUR. Homo-Deus, ou le satyre invisible, 1924, p. 299)
(Il est temps de reprendre, selon son principe, le projet des Mots sans lacune.)
07:05 Publié dans Mots sans lacune | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Langue française, Littérature
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