samedi, 14 avril 2007
Travaux prochains
C'est décidé (et pas seulement pour démentir les injures du petit complexé & carrément psychotique Juan Asensio) : je vais, d'ici peu, créer une colonne de liens permanents vers les notes de critique littéraire, mais aussi de critiques musicales et cinématographiques de ce carnétoile. Cela permettra un classement moins fouillis que le système des rubriques (ou catégories). Cela sera aussi l'occasion de soigner a posteriori la présentation des notes écrites en 2005, souvent mal justifiées, ou aux interlignes foutraques. (Je viens de le faire pour une note ancienne sur Yoko Tawada.)
Ceux qui me connaissent savent que je tiens aussi un autre blog, un poil plus "avant-gardiste" (whatever that means) ou "exigeant" (ouh la la, beurk...), et où se trouvent de nombreuses recensions idem.
12:05 Publié dans Ex abrupto | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : Littérature
Commentaires
c'est-à-dire ?
Écrit par : Chloé | samedi, 14 avril 2007
(Ah oui, et répondre aux défis qu'on me lance sur d'autres blogs...)
Écrit par : GC | samedi, 14 avril 2007
Ah, si je puis me permettre de répondre à la Mademoiselle, pour en savoir plus, il faut, au choix :
– soit justifier d'interventions suffisamment extravagantes sur la blogosphère tourangelle pour devenir, l'espace de quelques semaines, un personnage de fiction ;
– soit remporter haut la main une épreuve ludique sur Touraine Sereine à partir de l'une de ces énigmes que G. Cingal affectionne tout particulièrement et qu'il nous livre, avec une régularité de métronome, le premier vendredi de chaque mois impair (après ses énigmes sur ses dix groupes préférés de heavy metal, en septembre dernier, sur les noms des cinq ours en peluche successifs de son enfance, en novembre, et sur son panthéon personnel des dix plus grands toréros de tous les temps, en janvier, nous attendons ainsi, en retenant notre souffle, sa prochaine épreuve, prévue pour le 4 mai) ;
– soit commander au minimum quatre cents exemplaires du dernier roman de Nuruddin Farah et s'engager à cotiser pendant trente ans à la Société des lecteurs de Renaud Camus.
Une telle marque de confiance est à ce prix.
Écrit par : Chieuvrou | samedi, 14 avril 2007
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