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mercredi, 16 mai 2007

M qui signifie les Mines

Déjà, quand elle descend la rue de l'Église, les mères font hâtivement rentrer leurs enfants, avec des mines sombres et inquiètes.

Dans la glaise je descends.

 

Réinventant la roue, je me vautre.

 

Le M qui signifie les Mères (heeeeeeein ?).

 

Du moment que j'ai toujours, à mon casque, son plumet, je resterai fermement sédentaire dans le territoire du crayon.

Commentaires

M comme Moi, je suis donc toute seule sur le net dans cette journée de grisaille, où le temps semble s'être arrêté, en ce jour férié; et où grammaire, j'ai à m'atteler (que dis-je, marteler). A raison, j'ai choisi révision pour ce jeudi moisi, travail grisaille, concentretion introspection. Alors je viendrais voir de temps à autres, si vous, entre autres, avez quelques minutes à m'accorder & rigoler histoire de se dérider.

Écrit par : Aurélie | jeudi, 17 mai 2007

Eh bien, moi, je corrige des copies d'agrégation, et c'est encore plus déprimant que le ciel de ce jeudi gris ! Cela dit, il y a des fois où c'est tordant limite torride : "the omniscient narrator penetrates into the heroine’s stream of consciousness". Genette revu par le cinéma X !

Bon, je sens que ça ne vous remonte pas le moral, de lire des coquilles de candidats aux concours. (Que de cruauté, ce Guillaume !)

Écrit par : Guillaume Cingal | jeudi, 17 mai 2007

Et ça ose se plaindre ! On voit que vous n'avez pas 100 pages de Brigade mondaine à écrire d'ici dimanche soir...

Courage, Aurélie, on est là ! (Je sais : ce n'est pas forcément une bonne nouvelle...)

Écrit par : Didier Goux | jeudi, 17 mai 2007

Et merci pour l'hommage rendu...

Écrit par : Didier Goux | jeudi, 17 mai 2007

Sinon, ça se confirme : c'est la journée des allusions sexuelles involontaires.

Ainsi, j'ai trouvé, dans les copies corrigées ce jour, du SM misogyne ("the same semantical slut that binds them together" ("la même salope sémantique qui les ligote")) mais aussi des pratiques encore en vigueur à l'ère digitale ("she is fingered as a fiend’" (on la doigte en tant qu'ennemie")).

(Si ça peut inspirer Didier pour écrire son roman licencieux...)

Écrit par : Guillaume C. | jeudi, 17 mai 2007

Je me demande si cette correction des copies d'agrégation est vraiment fiable. On ouvre une copie, se distrait 2 minutes en Touraine, et 3 minutes chez le musicien, s'interroge sur le sort du malade imaginaire (n'est-ce pas Didier). Non, je plaisante bien sûr; d'autant plus que j'ai des amis, qui, pour être opérationnels, ont besoin de consulter internet très régulièrement, sinon, ils perdent leur motivation. Ca m'étonne car je suis quelqu'un de très entier: 100% boulot / 100% détente... Peut-être que c'est moi qui n'ai rien compris. O'Bother...
-Aurélie, tu racontes ta vie.
-Ah ouais, il faut que je me taise?
-Oui.

Écrit par : Aurélie | jeudi, 17 mai 2007

Bon, puisqu'on me flique :
1) j'ai corrigé 9 copies ce matin en 4 heures (2 heures, puis interruption car coup de fil d'un collègue et, du coup, coup d'oeil au Web (beaucoup de coups, coucou !), et à nouveau 2 heures)
2) j'ai corrigé trois copies (courtes) cet(te) après-midi, après promenade au Prieuré Saint-Cosme, thé et Web.

Les coquilles que je cite ont été répertoriées dans la matinée puis transcrites ici. (De toute façon, on n'écrit pas sur les copies : on note tout sur des feuilles (et dans mon cas, par fichier Word).)

Écrit par : Guillaume Cingal | jeudi, 17 mai 2007

Ah! on sait s'amuser, chez les bouffeurs de rillette, c'est pas comme par chez nous...

Écrit par : Didier Goux | jeudi, 17 mai 2007

J'ai remis en question ma façon de travailler, rien de plus. Je n'ai rien fliqué du tout, on arrête d'être parano ouh la la....

Écrit par : Aurélie | jeudi, 17 mai 2007

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