lundi, 19 mars 2012
Maudit [...] ton nom
Popescu lui a fait rencontrer des pays, qui n’avaient jamais été perdus, même en nostalgie, « à cause du danger représenté par les mines de toutes espèces dont les plages étaient parsemées ». Un centon serait aisé. (Pourtant, on a écrit peu de pages pour ce Journal raturé, vous savez bien…) Il ne serait pas difficile d’aligner des lignes. (De laminer des mines ? Pas possible.) En lisant Popescu dans le train, il note, au dos d’une carte postale Libération, les phrases « tu la regardes dans ta mémoire » et « tu feuillettes ta mémoire » (p. 10 et 14 respectivement). Quand même.
Alors, de nouveau, cri primal : Attendez, les minettes !
(Comme ça, et pas autrement, il photographia la gare d’Angoulême, sans descendre du train.)
On a sauté en l’air, Tobrouk pour tout le monde. Nul alibi (ce serait aisé).
(Travers Divers, p. 761)
21:01 Publié dans Le Livre des mines, Tographe | Lien permanent | Commentaires (0)
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