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lundi, 28 mars 2016

3815 — Points

Logiquement, c'est dans trois jours, en miroir du premier jour du mois, que je devrais tirer un premier bilan de mon passage à l'acte. Toutefois, comme j'ai un peu de temps ce matin, je préfère faire un nouveau point sur les chantiers vingt-sept jours après le précédent.

 

Depuis ce dernier “point”, j'ai donc publié 37 billets ici (et plus, je pense, dans l'autre blog). Cela signifie, entre autres, que, comme depuis novembre, j'ai publié tous les jours, ici et là-bas.

Outre les chantiers dont je dressais alors la liste, j'en ai entamé trois, et non des moindres : les acrostiches quotidiens, les quatramways & le journal vidéo des traductions sans filet. Pour ce qui est des chantiers soumis au vote des lecteurs, tous ont été poursuivis, avec à trois (notables) exceptions : le projet Ferré, Vagabondages et l'Atlas. Un de mes lecteurs (et amis) qui avait plébiscité deux de ces trois projets pensera peut-être que je ne tiens aucun compte de son avis. Tel n'est pas le cas (et d'ailleurs, si je me suis lancé avec tant d'énergie dans les traductions improvisées filmées, c'est bien parce qu'il a d'emblée, et à plusieurs reprises depuis, signalé son enthousiasme — donc, j'espère que cela compense), mais il est important que je démêle ici les raisons de cette réticence, ou de ces difficultés.

Pour le projet Ferré comme pour l'Atlas, il faudrait que je libère ne serait-ce qu'une demi-journée par mois pour m'atteler vraiment à l'un ou l'autre respectivement, car cela ne peut se concevoir et s'écrire sur un coin de table, en vitesse. Or, si je me félicite de m'être tenu depuis cinq mois à une reprise nulla dies sine linea, je dois reconnaître que c'est, le temps me manquant et ces carnets n'étant tenus qu'à mes moments perdus, au détriment des projets d'écriture les plus ambitieux — ou, à tout le moins, de ceux qui requièrent une attention un tantinet soutenue.

Pour Vagabondages, c'est différent. Le plébiscite de cette rubrique, dans la foulée du référendum suggéré, m'a totalement pris de court : un seul billet écrit, très nébuleux sur son principe. Je pense être incapable de poursuivre, ou, à tout le moins, il faudrait vraiment que je “bloque”, là aussi, plusieurs heures pour venir à bout d'une ou deux chroniques. On verra. Je note ici les échecs, ou, à tout le moins, les échecs provisoires. Pour être exhaustif, je me dois aussi de noter que la série de textes consacrés à Christian Garcin est au point mort depuis le 3 mars, mais la raison en est simple : je ne le lis pas en ce moment, et devrai, là encore, donner un coup de collier pour reprendre.

 

Dernière chose : comme ce billet s'intitule Points et qu'il y fut question de point mort et de faire le point, je note aussi que je me suis mis, très récemment et timidement, à explorer les possibilités de gagner du temps en utilisant la fonction de dictée du smartphone, notamment sur Twitter, ce qui m'a permis de renouer avec la rubrique du chronotope Conservatoire.

08:57 Publié dans Ex abrupto | Lien permanent | Commentaires (3)

Commentaires

Honnis soient les paranos.

Écrit par : VS | mardi, 29 mars 2016

Je ne comprends pas...

Écrit par : GC | mercredi, 30 mars 2016

>Un de mes lecteurs (et amis) qui avait plébiscité deux de ces trois projets pensera peut-être que je ne tiens aucun compte de son avis.

Cela faisait écho aussi au fil sur FB où se sont exprimés tous ceux qui avaient peur de t'avoir blessé par leur silence.

Et en me relisant, je me dis "qu'un de tes lecteurs" pourrait trouver ma phase agressive. Qu'il sache donc que c'était aussi de l'auto-dérision, car de l'avis familial, je suis très parano (dans l'acception "tout prendre pour soi").

Écrit par : VS | samedi, 02 avril 2016

Les commentaires sont fermés.