jeudi, 03 mars 2016
Banc
C’était merveilleux, ai-je dit, ce banc de poissons que j’ai vu. Je l’ai vu très nettement, tu sais. J’écoutais ce que tu me disais, et je le voyais onduler devant moi. Je crois que c’est parce que tu m’as pris la main.
(Christian Garcin. L’embarquement. Gallimard, 2003, p. 100)
07:27 Publié dans Corps, elle absente, La Marquise marquée, Larcins | Lien permanent | Commentaires (0)
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