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mercredi, 29 juillet 2020

Vide-maison, suite

Levé tôt, 6 h 30. C’est un peu mon rythme depuis le début de l’été, des nuits de cinq heures, et pas fatigué. Je ne ressens guère non plus les douleurs liées à ma lombalgie et à ma double tendinite : c’est heureux, puisque je sais, depuis qu’il a été confirmé que c’était de l’arthrose, qu’il n’y a pas grand-chose à faire. Ce matin, toutefois, c’est la douleur dans le bas du dos qui m’a réveillé. Il y a que j’apprends à éviter, autant que faire se peut, les gestes qui provoquent durablement ces douleurs : rester debout en piétinant, marcher lentement… Pour discuter debout, il faudrait que je m’achète une sorte de trépied pliant portatif qui me permettrait simplement de poser mes fesses et de signaler à mes interlocuteurs qu’effectivement discuter dans cette position est devenu presque impossible pour moi.

 

Mes parents viennent aujourd’hui nous aider à nettoyer le garage et la salle de soins. Ils doivent récupérer pas mal de trucs, notamment des livres pour la bibliothèque municipale de Cagnotte et pour Philippe S*, le spécialiste d’histoire régionale. Je ne saurais dire combien de livres abîmés et/ou sans intérêt j’ai balancés au papier à recycler en février et la semaine dernière. Et cela sans compter ceux que j’avais mis dans des boîtes à livres à droite et à gauche l’été dernier. Dans une maison dans laquelle j’aurais dit qu’il y avait peu de livres. Mes parents vont récupérer des bricoles, aussi, et des cartons qu’ils vont stocker en attendant de nous les monter au fur et à mesure.

 

La vente de la maison prendra probablement du retard ; initialement prévue le 31 août, elle pourrait n’être officielle devant le notaire qu’au cours de la seconde quinzaine de septembre, car les formalités ont pris du retard.

 

07:46 Publié dans *2020* | Lien permanent | Commentaires (0)

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