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vendredi, 20 janvier 2023

20012023

Il y a cent cinquante ans mourait à Florence une écrivaine dont j’ai découvert l’existence il y a moins de trois semaines – et très indirectement – grâce à ma lecture du roman d’Agiaba Scego, Isa Blagden.

Il n’existe apparemment aucune autobiographie d’elle. Quelques-uns de ses livres peuvent se lire en ligne. Ce cent cinquantenaire est l’occasion de lancer un des projets dont j’ai le secret – à la (re)découverte d’Isa Blagden*. Ce projet me permettra de respecter la contrainte d’1 billet par jour sur l’autre blog sans avoir à me creuser les méninges ou à débiter du Untung-untung de façon quasi machinale.

 

* Pour l’anagramme (Baal design / Isa Blagden), on a eu chaud, car j’ai hésité avec Big Sandale, Sinbad égal ou Gland baisé.

 

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