Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

jeudi, 13 mars 2025

13032025

Avant d’allumer l’ordinateur, ce matin, j’ai entrepris de rassembler tous les livres d’Ananda Devi que nous avons, afin de les rassembler sur une seule étagère : la plupart se trouvaient dans la bibliothèque des littératures africaines, antillaises et indocéaniques, mais il y en avait aussi cinq dans la bibliothèque de poésie bien sûr, et deux ou trois qui traînaient à des endroits épars. Il y en a un que je n’ai pas retrouvé, car je l’ai lu récemment : Le voile de Draupadi – pourtant un de ses premiers. Nous en avons donc vingt-deux, ce qui signifie que je vais commander les autres.

Par ailleurs, je me suis aperçu de deux choses très agaçantes hier. D’un : le nom d’une écrivaine dont j’ai lu quatre livres, l’un d’entre eux assez aimé pour que je le prête à deux personnes différentes, et que j’ai même rencontrée lors d’une lecture d’un de ses livres de poèmes dans une librairie, ne m’est revenu qu’en vérifiant la liste de mes contacts Facebook. De deux : dans un échange privé avec un écrivain, je me suis demandé ce que devenait Ali Zamir, qui n’a plus rien écrit depuis Dérangé que je suis en 2019 ; en effet, mon ami écrivain me dit qu’il n’a plus de nouvelles etc. ; or, ce matin, en farfouillant justement dans les étagères de la bibliothèque des littératures africaines, antillaises et indocéaniques, je tombe sur Jouissance, le quatrième roman d’Ali Zamir, paru en 2022, livre que – à ma décharge (il y a jeu de mots) – j’avais moins aimé que les précédents et qui ne figure pas dans sa bibliographie sur Wikipédia : si j’étais allé consulter le site de son éditeur, la mémoire me serait revenue.

Je pourrais ajouter un troisième agacement (ou serait-ce de l’inquiétude face au vieillissement) : toujours en farfouillant dans ces étagères qui auraient bien besoin d’être réordonnées, j’ai vu que j’avais lu pas moins de quatre livres d’un écrivain avec qui j’ai pris un verre à Nantes et dont j’aurais juré n’en avoir lu que deux, il y a longtemps certes…

 

Écrire un commentaire