mercredi, 13 mars 2013
Alternative
– Ouh, c’est pressé, je vais aux toilettes.
– Ah… pipi ou caca ?
– Je ne sais pas, un des deux, je pense.
Cinq ans et demi, ça doit être un peu jeune pour avoir besoin de vomir ses excès d’alcool de la veille, non ?
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jeudi, 24 janvier 2013
Interminable, labil
Un jour j'en eus assez.
Regarder la nappe blanche, les oreilles dressées posées dessus... quoi ? Alors, j'ignorais ce qu'étaient l'obèle et la cotice. Une belle guibole.
Je relis Alice, parce qu'Alpha, qui n'aime pas, l'étudie en sixième. (Lui préfère L'Ours de Pastoureau et Zoos de Baratay.)
Un jour j'en eus assez de relire, relier et même d'écrire.
Quand ce jour advint, j'aurai eu des problèmes avec le temps. On en reparlait dans quelques années.
Bref.
Nappe blanche, petites torches de couleurs différentes, empilements sur les carreaux froids, ras-le-bol quoi.
Quoi ?
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dimanche, 20 janvier 2013
Panthéon
Dans soixante-sept jours, Oméga aura exactement l'âge, au jour près, qu'avait Alpha lors de la naissance d'Oméga. Autrement dit, en ce jour précis, le 28 mars 2013, Alpha aura pile le double de l'âge d'Oméga. C'est l'occasion, pour moi, de publier un document exceptionnel : la liste des dieux inventée par Alpha vers 5 ans ½ (le document n'est pas daté, mais il devait être en grande section). La liste fut prise sous la dictée – Alpha n'écrivant pas encore – et l'orthographe est donc sujette à caution.
Macron, le dieu de la sagesse, de la gentilleté et de l'amour (dieu des dieux)
Zegzdom, le dieu de la musique et des arts
Guizeau, le dieu de la guerre (tournois et joutes)
Zégon, le dieu des bêtises
Jextama, la déesse des animaux
Djimo, le dieu de la mercredi
Engzéma, le dieu du soleil
Ogzama, le dieu des riches
Elléma, la déesse des pauvres
Zikchno, le dieu du sport
Zekno, le dieu des artistes
Milrofor, la déesse de la toilette
Zoébonde, le dieu du feu
Elmès, la déesse du pas-beau-temps (pluies, tornades et tonnerres)
Nakzéjo, le dieu du bricolage
Vestro, le dieu de l'école
Elmel, la déesse des métiers
Gelmel, la déesse du dessin
Ilmo, le dieu des chevaux
Préfor, le dieu du mécanique
Zelmel, la déesse des habits
Guimo, le dieu de la pierre
Trois-Mâts, le dieu des chatouilles
Vilkno, le dieu des peluches
Rhinolophe, la déesse de la télé
Jilmo, le dieu des policiers
Troama, le dieu du bois
Gilles, le dieu de la terre
Elveste, la déesse de la chasse
Guesmo, le dieu des aliments
Tomo, le dieu des esclaves et des serviteurs
Guilvo, le dieu du vin
Théma, la déesse des fleurs
Thelmel, la déesse des jeux
Trexdel, le dieu des enfants
Ziksdenj, le dieu de l'écriture
Thrémel, la déesse des chiffres
Dikzenm, le dieu de l'électricité
Jelmo, le dieu des statues
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dimanche, 23 décembre 2012
Being E(a)rnest
“ Papa, t’es un chausson, parce que Papa ça fait 2 syllabes et chausson ça fait 2 syllabes.”
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jeudi, 06 décembre 2012
Distiques non ribéryens, dont 1 holorimant brachylo-métonymique
Fallait-il que, sous ton auvent, Auchan, je vinsse
Acheter, pour Noël, l'épicéa Pungens ?
Le cadet s'éprend des derbouka et cajon,
Ce qui, à la longue, casse un peu le cojon.
Le cadet désormais pianote du Steve Reich
Dans la chambre d'ivoire — où ça nous fait bien yeich.
Pierre Perret, Cali, Bruel et Julien Clerc :
Bonjour la semaine des has-been sur Deezer.
Pour que vous trouviez l'humain au simiesque à lier,
Dans l'Extension cherchez bien le signe escalier.
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samedi, 09 juin 2012
Antédiluvien
"Y a la pluie qui nage dans la rue"
(Oméga, 5 ans)
18:18 Publié dans ... de mon fils | Lien permanent | Commentaires (3)
vendredi, 11 mai 2012
Orgue & langue
Sa mère jouant de l'orgue, Oméga : "on se croirait dans une église".
À propos de Jean-Luc Lahaye, j'explique à Alpha la définition de has been : "ah ouais, Jack Lang, quoi".
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mercredi, 04 avril 2012
Algorithme & communisme
Pendant qu'Oméga construisait "un algorithme" en Kapla (d'où le dialogue suivant : "- Comment tu connais le mot algorithme ? - On en a fait à l'école." - NDLR : Oméga est en moyenne section de maternelle),
Alpha croisait deux de ses passions, les animaux et la vie politique française (avec une pointe de dérision anti-Lutte Ouvrière).
(Cliquer sur les images pour agrandir.)
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samedi, 04 février 2012
Not bitty now, bitty later
- Bonne nuit. Tu as une oreille rouge, la gauche.
- Bah, ce n'est pas grave. Je préfère ça que d'avoir le nez gelé, ou les doigts de pied qui tombent comme les Néandertaliens... qui les bouffaient d'ailleurs. Bonne nuit !
Tout ça pour une oreille rouge.
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samedi, 10 décembre 2011
Chabal grillé
Mon fils cadet (4 ans), voyant Sébastien Chabal faire son entrée sur le terrain, via la télévision :
Ce barbecue, celui-là !
(A cette occasion, je m'aperçois d'ailleurs qu'Oméga a approximativement le même âge qu'Alpha à l'époque lointaine où je créai cette rubrique. Et je signale aussi que, comme par hasard, les Londoniens marquent deux essais coup sur coup juste après l'entrée de Sa Majesté la Nullité Barbue sur le terrain.)
18:03 Publié dans ... de mon fils | Lien permanent | Commentaires (0)
vendredi, 09 décembre 2011
"Brains in the pot / They're beginning to boil"
Tandis que je prépare le déjeuner, mon fils aîné, qui s'est plongé dans le dernier numéro d'Arkéo Junior, vient me voir pour m'expliquer qu'on a retrouvé dans une grotte en France un squelette d'Homo erectus vieux de 170.000 ans, découverte essentielle car les préhistoriens ne pensaient pas qu'il y avait eu des Homo erectus aussi tardivement sur le territoire français. Mon fils d'ajouter nonchalamment que le fragment de crâne présente des traces de découpe, ce qui tendrait à prouver que les congénères du sympathique hominidé auraient siphonné la cervelle avec une paille pour s'en sustenter. Bon appétit !
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jeudi, 08 décembre 2011
Quelques éléments de critique musicologique
Mes fils devant les clips sur W9. Soudain, j'entends l'aîné : "Ah, mais c'est pénible, ce singe hurleur." Puis : "Ta gueule, le ouistiti pygmée !"
Solution de l'énigme : chanson de Zaz. (J'avoue que je ne connaissais pas.)
J – Ahahaha ! N'empêche que ca lui va comme un gant.
Moi - Il va de soi que je ne sais pas du tout qui lui apprend à parler comme ça.
J – Bien entendu.
M – Et il a raison ! C'est une Tourangelle elle aussi...
J – C'est pas la meilleure spécialité tourangelle... je préfère largement les rillettes.
M – On ne pouvait mieux dire !
O – Zaz, c'est bien la fille qui hurle "C'est pas votre argent qui fera mon bonheur / Moi j'veux crever la main sur le cœur" dans une chanson diffusée à mort sur toutes les radios arrosées par Universal Music, c'est ça ?
Moi – Avant 7 h 53 ce matin, j'ignorais tout de cette fille, jusqu'à son nom. Et je ne crois pas l'avoir entendue avant. So don't ask ME !
J – Et jusqu'à ce matin, vous aviez bien de la chance.
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dimanche, 20 novembre 2011
Exercice improvisé & dominical de niveau CM2
Souligne les C.O.D. en rouge, les C.O.I. en bleu et les C.O.S. en vert.
Le père a emmené son fils au zoo.
Le gavial a dévoré le petit enfant en quelques minutes.
Le directeur du zoo gronde le gavial.
La police demande des comptes au directeur.
Le soigneur dit au directeur qu'il ira lui porter des oranges.
Le gavial rigole gentiment.
Le père du petit enfant critique le système de sécurité du zoo.
Après enquête, il s'avère que le petit enfant s'était moqué du nez du gavial.
L'inspecteur chargé de l'enquête refuse d'accorder les circonstances atténuantes à l'avocat du directeur.
L'élève de CM2 dit à son père que ses histoires de gavial ne sont pas drôles.
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samedi, 15 octobre 2011
Un trou d'air
"C'est énorme. On est nuls, on est mauvais jusqu'à la moelle, et on est en finale ! "
(Alpha, 10 ans)
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mardi, 14 juin 2011
Dialogue écrit
— Expression tautologique de la mélancolie, par mon fils (10 ans) : "j'aime cette musique, ça me rappelle la nostalgie".
— Ce n'est pas tautologique, c'est une vraie mise en abîme. Soupir ! La nostalgie n'est plus ce qu'elle était… C'est marrant, ça nous ramène au papier sur le regrès.
— Me sens très abîmé. C'est la nostalgie, un puits sans fond.
Dans mon autre site, j'avais tenté des transcriptions de conversation en ligne ("chat"). Ici, peut-être, commence un nouveau projet : le recyclage d'échanges sur Facebook.
02:00 Publié dans ... de mon fils, Chèvre, aucun risque, Questions, parenthèses, omissions | Lien permanent | Commentaires (0)
samedi, 05 mars 2011
Félonie complexement anachronique
Oméga, déguisé en chevalier templier : « Je vais tuer Jésus ».
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dimanche, 06 février 2011
Ethnographie à domicile
Voici les paroles improvisées d'une danse rituelle effectuée par Oméga ce matin (gestes et déplacements indescriptibles) :
Kaloud ! Qu'est-ce que ça veut dire, Kaloud ?
Bamdoud !!!
Palott ! Qu'est-ce que ça veut dire, Palott ?
Kaflott !!!
09:17 Publié dans ... de mon fils | Lien permanent | Commentaires (1)
dimanche, 12 décembre 2010
(presque) Comme un lundi
---- comme toujours, il suffit de cliquer sur les miniatures pour voir les photographies dans toute leur majesté ]
Au bureau même le dimanche ? Non, au travail chez moi. Mais, en me rendant en ville (afin de visiter in extremis l'exposition "Juifs de Touraine"), je n'ai trouvé, pour garer ma voiture, qu'une seule place : juste devant mon bureau, rue des Tanneurs. Vraiment pile en face (ou en dessous). Ironie.
Mon fils aîné m'a photographié, non sans ricaner :
Ce que l'on voit, tout en haut de l'image, c'est la partie inférieure des deux stores qui, de mon bureau, donnent sur la rue. Comme on le voit, l'appellation de rez-de-chaussée est, pour ce bureau 49ter, plutôt fallacieuse, puisque les fenêtres se trouvent quatre bons mètres au-dessus du trottoir. Il vaudrait mieux parler de rez-de-jardin (car il y a, au sein du bâtiment, des sortes de quads tout à fait sous-oxoniens, puits de lumière et cadavres de verdure) ou, plus joliment sans doute, de rez-de-fleuve, dans la mesure où le niveau où se trouvent ces fenêtres (donc : mon bureau, si vous me suivez) donne, de l'autre côté, directement sur les bords de Loire, à la faveur de quatre marches en pente douce seulement.
En fait, je triche : les vraies rives de la Loire sont encore dix mètres en contrebas. Mais il y a bien, au niveau du susnommé (et mal nommé) rez-de-chaussée une promenade de parapet. Soyez pas plus pinailleurs que moi, hein, comme je dis toujours à mes étudiants quand ils s'aperçoivent que je suis en train de leur raconter n'importe quoi m'embrouiller dans mes explications.
23:30 Publié dans ... de mon fils, Autoportraiture, Sites et lieux d'Indre-et-Loire, WAW, Zestes photographiques | Lien permanent | Commentaires (0)
D'une résurgence de Canâtre
Oméga (coloriant) - Comment il s'appelle, ce chien ?
Son père - Je ne sais pas.
Oméga - Moi, je vais l'appeler Canâtre.
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dimanche, 28 novembre 2010
"Je parle à mon bonnet..."
Nous allons aujourd'hui à La Flèche (par une journée qui promet d'être froide et grise), et, fort opportunément (mais, me semble-t-il, par hasard) nous avons regardé hier soir, avec Alpha (qui appréhendait, je pense, d'être confronté à une pièce de Molière, pensant cela trop difficile pour lui (alors que je savais, pour avoir été exposé au répertoire classique dès l'âge de sept ou huit ans, qu'il mordrait d'emblée à l'hameçon)), la version filmée de la mise en scène de L'Avare par Catherine Hiégel avec Denis Podalydès. Alpha ne s'y est pas ennuyé un instant, est allé se coucher encore hilare et tout excité, répétant les répliques qui l'avaient le plus fait rire ("les beaux yeux de ma cassette ?") au point d'avoir du mal à s'endormir. Tout juste avons-nous eu besoin de deux ou trois "pauses", le temps de lui expliquer ce qu'était une entremetteuse et ce que celle-ci (Frosine) venait faire dans cette galère, ou la situation de quiproquo entre Cléante emprunteur et Harpagon prêteur à usure.
Du coup, je pense -- le connaissant -- qu'Alpha va lire tout ce qui, de Molière, pourra lui tomber sous la dent, et être enthousiaste à la moindre proposition de regarder Le Malade imaginaire ou Tartuffe. Je suis allé lui dégotter Le Médecin malgré lui dans une vieille édition des Classiques Larousse, et L'Avare, bien sûr, dans l'exemplaire de ces mêmes Classiques Larousse qui appartenait à mon père et à partir duquel ma soeur et moi avions entrepris d'écrire, dans un cahier Héraklès, une version pas même modernisée... une réécriture, au plus, ou une réappropriation (je devais avoir huit ans, et elle douze).
Sur la mise en scène elle-même, pas grand chose à dire, ni à redire. Escalier bien mis à profit, Podalydès très drôle quoique parfois trop virevoltant (son interprétation du monologue me laisse partagé : admirable, en un sens, elle n'a de sens justement que pour quelqu'un qui connaît déjà bien la scène -- or, le méta-méta, s'il convient aux classiques, a tout de même tendance à m'ébouriffer, au théâtre), interprétation globalement bonne quoique penchant vers l'hystérique, et à l'exception d'une Elise dramatiquement mauvaise et dont, au moment de la distribution, au générique de fin, nous avons constaté qu'elle avait un nom maghrébin ; ses origines n'avaient pas pu nous frapper, tout d'abord parce qu'elle n'appartient pas visiblement aux minorités dites visibles, mais surtout parce qu'elle a très bien intégré un mode de jeu que l'on pourrait qualifier d'exécrable à la française.
Et, comme je lis depuis hier après-midi, le journal 2009 de Renaud Camus, Kråkmo, cela m'emmène dans des réflexions en spirale sur la culture, les générations, la discrimination positive etc. Est-il possible que cette actrice se soit retrouvée à la Comédie Française par un simple effet de discrimination, et malgré ses piètres dons (c'est un euphémisme) pour la comédie ? Si c'était le cas, voilà un exemple qui ferait bien du tort, à rebours, aux Roschdy Zem et Sami Bouajila, pour citer deux acteurs que je crois maghrébins, également, et qui sont absolument excellents (et n'ont sans doute pas eu besoin de discrimination positive pour en arriver là où ils en sont, juste d'avoir du talent et de le travailler (ce qui n'est pas rien)).
10:20 Publié dans ... de mon fils, Blême mêmoire, Tographe | Lien permanent | Commentaires (3)
samedi, 27 novembre 2010
Coursayre
A propos de la course-festival du réveillon à Subréhargues :
Non, ça, j'y irai dans quelques années, quand je serai assez coursayre pour aller réveillonner avec des ploucs de la pire envergure.
10:21 Publié dans ... de mon fils | Lien permanent | Commentaires (0)
mardi, 23 novembre 2010
Tweeter, not Twitter
(avec Alpha)
- Tu as vu, c'était en 1972... ces chevelures...
- Attends, c'est des fantômes !
- Mais non, plein de chanteurs avaient ce genre de look.
- Non mais, attends, c'est un dessin.
(Addendum d'Oméga en revoyant la photo : eux, ils sont moches.)
17:12 Publié dans ... de mon fils | Lien permanent | Commentaires (1)
jeudi, 11 novembre 2010
Hat & Beard *
Onze heures, matin. Oméga danse sur la "Rêverie de l'enfance de Pantagruel" ; Alpha, sur le canapé, lit le tome 2 de Gai-Luron. Ai-je pu lire les deux premiers chapitres du roman de Herta Müller. C. assistant aux commémorations, à la mairie de Tours, un vrai temps d'armistice (pluie glaciale et vent).
Six heures du soir. "De la présomption" (II, 17). C. me fait remarquer que la narratrice du Premier mot (de Vassilis Alexakis) n'a pas de nom ; j'ai lu le roman in extenso, l'ai plutôt aimé - ne m'en étais pas du tout rendu compte.
* Vienna Art Orchestra.
18:45 Publié dans ... de mon fils, Moments de Tours | Lien permanent | Commentaires (1)
lundi, 06 septembre 2010
Italiques gibleuses
[Samedimanche.]
Le soir, nous achevons de regarder, à marches forcées, la série Rome. L'après-midi, au réveil de la sieste d'Oméga, je lis, assis par terre, Sols, tout en supervisant le jeu avec les cavaliers romains. Le conducteur du quadrige (l'aurige ?) se nomme Labonnibeul ; le dux du char gris et rouge se nomme Gibleuse.
"Sylvain Fusco, le grand peintre schizophrène" (p. 56)
21:30 Publié dans ... de mon fils, BoozArtz, Moments de Tours | Lien permanent | Commentaires (1)
mercredi, 16 juin 2010
Réalisme
. Ah non, je ne veux pas être prof ! On bosse même le soir et pendant les vacances...
07:32 Publié dans ... de mon fils | Lien permanent | Commentaires (3)
samedi, 15 décembre 2007
Manières landaises
Cardiff Blues - Stade français
- S'il est beau gosse, putain, l'arbitre !
- Euh, comment tu parles, là ?!...
- De la manière landaise que l'on m'a apprise.
16:50 Publié dans ... de mon fils | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : Rugby, Langue française