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mercredi, 08 juin 2005

ZOO

Regardé hier soir ZOO: A Zed and Two Noughts de Peter Greenaway, à la fois (malgré mon goût pour les recherches du cinéaste) trop fouillis et trop explicite dans ses liens symboliques. De très belles choses, mais un sentiment d'éparpillement.

L'un des dialogues du film suggère qu'il n'y a pas de nom d'animal commençant par la lettre X, et que la lettre Z a été inventée pour le zèbre. Le zèbre fait l'objet de nombreuses scènes et de nombreux discours, dans le film. Et, ce matin, se réveillant (lui aussi) aux aurores (vers 6 heures 30), mon fils a entonné, de l'autre côté de la paroi nous séparant de lui, et comme entame à son récital, la chanson du zèbre, qu'il a dû retrouver au fond de sa mémoire. Cette chanson, tirée de l'Alphabet pop, le faisait, plus jeune, rire aux larmes. Il l'avait découverte en mars 2004, lors de la visite d'A***, ami très cher et qui, coïncidence supplémentaire, fut sans doute, hier dans l'après-midi, le premier de mes lecteurs.

Toutefois, A*** n'a pas laissé de commentaire sur le blog, mais m'a posé une question relative à Gertrude Stein, par courrier électronique.

Où, de Greenaway, l'on en revient à Gertrude.

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