Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

mercredi, 13 juillet 2005

La Chanson du joggeur

Patrice Nganang est l'un des écrivains les plus remarquables de la "jeune" génération africaine. Il fait publier, dans Le Messager les bonnes feuilles de son prochain roman, à paraître chez Gallimard. Dans l'immédiat, précipitez-vous sur L'invention du beau regard, deux "contes cruels" admirables.

Commentaires

Ce que je préfère dans ces contes (cruels? vraiment?):
Mbok (prostituée), deuxième bureau (maîtresse), un cou-plié (un vieux, ridé ou un vieux obèse en plus d'être ridé), ilang (insulte beaucoup trop vulgaire pour être traduite dans ce joli carnétoile (enfin puisqu'on parle de f****tion (je ne contribuerai pas aux stats sur ce mot en l'écrivant en entier) et tout ça je pourrais peut-être), mapan, n'est-ce pas j'avais dit, tu dis quoi? Tout ça pour toi seul? la 33, ndolo-l'amour, le ministère des soyas et mambas verts etc c'est à dire la manière bien particulière de s'exprimer, et les expressions.
Ce que j'aime aussi c'est le jeu avec le lecteur et la rapidité des descriptions, un certain style comme si Patrice N. était écouté en petit comité au lieu d'être lu par une personne.

Écrit par : Livy | mercredi, 20 juillet 2005

"Peut-être me laissa-t-il là, comme un vulgaire bifaga au soleil" juste au moment où je devins "nangaboko" et je me dis "bia boya"? [...] C'est alors qu'arrivèrent "les cartes" et je retirai mon "mouf", attendri.
A partir de
Patrice Nganang: Temps de chien.

Écrit par : Livy | mercredi, 03 août 2005

Les commentaires sont fermés.