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vendredi, 02 décembre 2005

Guillaume Cingal, près de la table, à Langeais

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Il revient, fou, présomptueux, après ce qui fut...
quoi ?
Indigestion, lassitude, dépression ?
Sa toxicomanie d'écriture reprend le dessus.
(Il est dedans.)

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L'auteur de Touraine sereine,

Mal remis de l'expo Bureine,

Un jour lut Le Monde

Qu'il trouva immonde,

Des hymnes d'esclave aux mureines!

 

Je sors de ma torpeur (exposition Buren)

Le silence n'aura duré qu'un jour. Mais je reprends la plume brièvement pour m'indigner seulement d'une phrase trouvée dans un article de Régis Guyotat, daté du 29 octobre dernier et paru dans Le Monde :

"Pour célébrer les vingt-cinq ans d'activités du Centre de création contemporaine de Tours, son directeur Alain Julien-Laferrière a donné carte blanche au plasticien Daniel Buren pour tenter de sortir de sa torpeur le château de Tours."

Pour penser que le château de Tours a vécu ces dernières années "dans la torpeur", il faut être singulièrement inculte et mal informé... ou ne regarder la province tourangelle que du seul haut de son parisianisme creux et inepte.

J'ai consacré une note à cette exposition il y a bientôt un mois.

19:48 Publié dans BoozArtz | Lien permanent | Commentaires (14)