lundi, 12 décembre 2005
La triste vérité, II
Dialogue avec Irène,
aujourd'hui, à deux heures, en revenant de l'imprimerie :
I.
C'est sûr que ton sourire n'a pas l'air très naturel.
G.
Mais tu comprends que le principe même de sourire et d'appuyer sur la détente en essayant de ne pas trop rater le cadrage provoque un sourire forcé, non ?
I.
Idéalement, il faudrait être photographié au dépourvu par surprise sans que tu t'en rendes compte [mais keskeladi exactement enfin?] pour que tu aies un sourire naturel.
G.
Oui, mais me photographier moi-même par surprise [c'était pas ça, mais bon], ce serait s'enfoncer un peu trop avant dans la schizophrénie.
I.
Oui, oui.
G.
Bon, j'ai cours, je file, hein...
23:30 Publié dans Autoportraiture | Lien permanent | Commentaires (3)
Commentaires
C'était un appareil photographique de Tours
Qui décida — Ça suffit ! — un beau jour
De tirer le portrait par surprise
De celui qui toujours lui faisait mine grise.
Quel énergique appareil photographique de Tours!
Écrit par : VS | mercredi, 14 décembre 2005
VS > On peut espérer... Faut que je le dresse !
Par ailleurs, Irène me demande de préciser que l'expression était "pris sur le vif".
Écrit par : Guillaume | mercredi, 14 décembre 2005
Irène n'a rien demandé mais Guillaume aime les commentaires.
Écrit par : Irène | vendredi, 06 janvier 2006
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