samedi, 30 septembre 2006
Pluie au soleil
Hallebardes sur Tours.
Monde, si beau, qui vacille.
Ce sont même de très gros grêlons qui cognent contre les vitres, rebondissent sur les voitures.
Torrents au bas des trottoirs.
La nacelle, je n'avais qu'à l'enlever, depuis le temps que je dis que je devrais l'enlever.
Soleil qui reparaît et l'averse qui reprend.
Longue litanie langoureuse, la pluie nourrit les yeux.
17:15 Publié dans Moments de Tours | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Ligérienne
jeudi, 28 septembre 2006
Tanneurs 131 et 132
Outre que, repeintes une semaine avant la rentrée, les nouvelles salles du site Tanneurs (au premier étage) offrent aux narines & naseaux souffreteux un mélange d'odeurs plutôt capiteux et même franchement désagréable (peinture + tableau à marqueurs + soleil tapant, à travers les vitres, sur les corps progressivement dégoulinants), elles ne présentent pas toutes les garanties en matière de respect des normes de sécurité, ce qui est plus inquiétant encore.
Aux Joulins, à une heure, j'ai mangé mon sandwich fade et bu un Schweppes, avant de repartir turbiner.
C'était sportif aujourd'hui, avec un cartable prêt à éclater et trajets en bus + trottoirs, sans compter l'habituelle dizaine d'étudiants qui m'ont attrapé au rebond, entre deux portes, deux couloirs, qui pour une demande de changement de T.D., qui pour l'organisation d'un emploi du temps Erasmus, qui pour une information sur les U.E. libres, qui pour la remise (tardive pour cause d'inscription tardive) d'un emploi du temps de L3... bref, lundi et mardi se prolongeant sur le jeudi. (3 Glorieuses... non, c'est plutôt en semaines.)
J'étais quand même à l'heure pour apporter à A., à la sortie de l'école, le crocodile gélatineux vert fluo qui m'avait été, de façon plutôt décadente, offert avec le café, et que j'avais soigneusement "troussé" dans un mouchoir en papier en vue du goûter filial.
18:50 Publié dans WAW | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : Ligérienne
À plat, tope là...
07:08 Publié dans Ecrit(o)ures | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Ligérienne
dimanche, 24 septembre 2006
Swordbird
Eh bien, dites donc... It's a business indeed !
13:15 Publié dans Ex abrupto | Lien permanent | Commentaires (0)
The Window
O chosen love, O frozen love
O tangle of matter and ghost
O darling of angels, demons and saints,
And the whole broken-hearted host
Gentle this soul
Leonard Cohen
09:39 Publié dans Autres gammes | Lien permanent | Commentaires (0)
mercredi, 20 septembre 2006
Chaud et froid
Finalement, les livrets sont sortis de l'imprimerie une heure avant la réunion de rentrée.
(Mais il manquait une vingtaine d'exemplaires.)
15:55 Publié dans WAW | Lien permanent | Commentaires (7)
Sur quatre vues du parc Güell
... toujours en ekphrasîs ...
Ce n'est pas une maïolique
Qui éclate comme un soleil,
Et ma mémoire, mosaïque
Etonnée, n'a pas son pareil.
*
Marchons vers l'arche de verdure
Où le temps s'arrête, pierreux,
Comme le bloc de roche dure
À vos sourires bienheureux.
**
Imaginaires coquillages
Dont seuls mes songes seraient rois,
Vous paraissez, dans le sillage
De mes souvenirs bavarois.
***
Colonne folle jusqu'au dôme
En croix, où le pigeon ramier
Roucoule - au prieuré Saint-Cosme
Il n'y a pas de tel damier !
... d'images tinouesques ...
09:55 Publié dans Zestes photographiques | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : Poésie
mardi, 19 septembre 2006
Journée d'études
Le Peintre et les Lettres :
Figures de l’artiste dans la littérature italienne
des XIXe et XXe siècles
vendredi 13 octobre 2006
salle 5e étage, Bibliothèque universitaire
3, rue des Tanneurs (Tours)
Le programme est téléchargeable ici: Peintre_Lettres.doc.
16:04 Publié dans WAW | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Ligérienne
lundi, 18 septembre 2006
Quelques quatrains barcelonais...
... sur des images de Tinou ...
Rongé par la folie qui songe
À la façade tel Argus,
L'esprit se débride la longe
En Barcelone aux vifs aigus.
****
Ne se croirait-on au théâtre
Où irait arlequinement
Se découvrir, le teint albâtre,
Un Don Quichotte de roman ?
***
Aubergiste, approche la lampe
Que je puisse m'émerveiller,
Sous les barreaux de cette rampe,
Du bleu globuleux écaillé.
**
Gaudi reconnaissable entre mille
Comme l'illustre Gaudissart
De Honoré et non d'Emile
(Où manque une rime en -issart...)
*
Qu'aux panneaux vides alignés
Comme la grille d'un poème
L'horizon vous ait assignés,
Vous, mes yeux, voilà ce que j'aime.
... un jour, j'irai à Barcelone. (Partie remise depuis 2000.)
12:03 Publié dans Ecrit(o)ures, Flèche inversée vers les carnétoiles, Hors Touraine, Words Words Words, Zestes photographiques | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : Poésie
Du Niger au golfe de Guinée, 18 septembre 1888
Il y a deux ans bientôt, une correspondante (que j'ai rencontrée depuis) m’avait offert, pour mes trente ans et à mon immense émotion, le récit de voyage du capitaine Binger, Du Niger au golfe de Guinée par le pays de Kong et le Mossi. Il s’agissait de la réédition en un seul volume (Société des Africanistes, 1980) des deux tomes parus à l’origine en 1892, et marquée d'une longue dédicace à l'encre rouge sombre. Je me suis plongé illico, mais en plusieurs séances, dans cet ouvrage finalement savoureux et passionnant, malgré un très grand nombre de réticences que, pour faire bref, je qualifierai d’idéologiques et qui, loin d’être formulées a priori dans ma petite tête, naissaient surtout au fur et à mesure de la lecture. Toutefois, il faut reconnaître que, pour un militaire entreprenant un voyage d’exploration dans le contexte de la France coloniale de la fin du 19ème siècle, Binger est relativement subtil, et même qu’il parvient souvent à une étonnante neutralité.
Alain Ricard m’avait dit un jour que les récits de voyage écrits par les premiers explorateurs, et, dirons-nous, singulièrement au 18ème siècle, étaient nettement plus justeset moins obscurantistes, à l’égard des peuples visités, que ceux du 19ème siècle.
Aujourd’hui, c’est sans doute l’heure de citer – car il n’est jamais trop tard, et les chiffres ronds pèsent trop lourd – le premier paragraphe de l’entrée du 18 septembre 1888, qui témoigne d’un désir d’observation aussi neutre que possible, et sur un point très intéressant :
Ce matin de bonne heure nous sommes réveillés par une violente tornade, la première de cette année ; elle fut accueillie avec joie par tout mon personnel, car c’est un indice certain de la prochaine fin des pluies d’hivernage. (Chapitre XI, tome 2, p. 61)
À Tours, pourtant, nulle tornade.
09:31 Publié dans Affres extatiques | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Afrique, Ligérienne
dimanche, 17 septembre 2006
56
Une naïve de Saint-Âvre
Voudrait naviguer jusqu'au Havre :
Seulement, par le Cher,
On n'atteint pas la mer,
Et c'est bien là ce qui la navre.
17:55 Publié dans Album de limericks ligériens | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : Ligérienne
samedi, 16 septembre 2006
Nouvelle énigme tourangelle
Comme Guillaume Lapaque ne trouve rien de plus drôle que de trouver illico la réponse à mes énigmes, en voici une, plus corsée je l'espère, et qui vaudra, au vainqueur (à condition qu'il ne s'appelle pas Guillaume Lapaque!), un pot offert lors du prochain apéro-blog tourangeau.
(En cas d'absence lors du prochain apéro-blog, le cadeau est un exemplaire dédicacé d'un choix de textes...)
Donc : Question : Où ?
(Indice : pas à Tours.)
19:55 Publié dans Zestes photographiques | Lien permanent | Commentaires (5) | Tags : Ligérienne
Tourangelle devinette
Où ?
(Indice : à Tours.)
Une surprise attend le vainqueur.
19:15 Publié dans Zestes photographiques | Lien permanent | Commentaires (6) | Tags : Ligérienne
vendredi, 15 septembre 2006
Exposition Jean-Michel Salaün
Comme je l'avais déjà annoncé, les Bons Enfants exposent ce mois-ci les travaux de Jean-Michel Salaün.
Il s'agit de tableaux peints, pour l'essentiel, à partir de grands aplats, car l'artiste se sert principalement des paumes de ses mains. Les toiles sont de formats divers, principalement des carrés, le tout allant, pour les proportions, de petits 20x20, presque monochromes, à deux ou trois toiles de 150x150. Il y a aussi de petites sculptures en technique mixte, de couleurs plus composites que les toiles.
J'ai surtout "craqué" pour le 60x60 qui se trouve au fond à droite, en entrant (que je nommerai Visage sous nuage, même si aucune des toiles n'a de titre) ; la série de six 30x30 (surtout le carré noir que j'aimerais nommer Orage) ; enfin, le grand 100x73 qui se trouve juste à droite en entrant (titre inventé par moi : Chair à vif).
Visage sous nuage : carré rouge où se dessine, par un triangle noir (traînée d'encre de Chine ?), une sorte de visage seulement pourvu d'une bouche grattée. Seul un nuage orangé vient menacer cette ombre paisible.
Orage : carré noir, pluie de suie qui tinte et tape sur la porte ardoisée d'une caverne (or et grisaille).
Chair à vif : frappé d'emblée par son éclat, quand je suis entré dans la salle d'exposition, je me suis toutefois aperçu, au second regard prolongé, que la chair rose blanchâtre qui compose, au centre de l'incandescence, un trapèze, me séduit moins - est-ce un visage ? une porte ? une hallucination ? le soleil aveuglant ?
Il faut, si l'on habite la région, aller voir cette exposition, d'autant qu'il est toujours très agréable de discuter avec Fred Ronfaut, hôte attentionné et galeriste délicat. Vous pourrez emporter (en guise de souvenir et s'il en reste) l'un des 260 morceaux d'un tableau de Jean-Michel Salaün, chacun de ces petits carrés ayant reçu la signature et l'empreinte digitale de l'artiste, ainsi que le numéro de série (mon exemplaire est le 183/260) et une inscription cryptique (996 ?).
[Lien vers le site des Bons Enfants.]
17:40 Publié dans BoozArtz, Moments de Tours | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : Ligérienne
mercredi, 13 septembre 2006
Fontanelles du spectateur
" Les éléments sont avec moi : il grêle. Une main aux ongles durs pianote sur mes fontanelles. " (E. Chevillard. Au spectacle.)
09:50 Publié dans Mots sans lacune | Lien permanent | Commentaires (0)
lundi, 11 septembre 2006
Abdourahman Waberi...
... fait son entrée dans le Petit Robert ! Félicitations, mon ami !
(À Berlin, où il se trouve, il a dû fêter ça dignement.)
16:25 Publié dans Affres extatiques | Lien permanent | Commentaires (2)
dimanche, 10 septembre 2006
Mais je fais mine...
Dense, tout de même, plus lourd que le plomb.
“Le public apprécie leurs gracieux ébats. Moi, je m’ennuie plutôt. Mais je fais mine, plus ou moins. Bien articulé, le bâillement est un soupir béat.” (E. Chevillard. Au spectacle.)
Cela fait des plombes, aussi, que je poireaute.
19:35 Publié dans Le Livre des mines | Lien permanent | Commentaires (0)
Greg Szlapczynski, chant & harmonica à Montlouis, 10 septembre 2006
Le dernier album de Greg Szlapczynski, Varsovie, a été enregistré avec une formation légèrement différente (Johan Dalgaard à l’orgue Hammond et Sophie Bourdon à la basse) de celle qui a joué, sous un soleil quasi torride, en plein zénith à Montlouis.
Ses autres albums s’appellent Ternaire madness (1997), Gregtime (enregistré en concert, 1999), et La part du diable (2002).
La sono était beaucoup trop forte, mais, tant que les petits-maîtres qui organisent les festivals ou les professionnels des platines n'auront pas ruiné la santé de tous les amateurs de musique, je pense qu'ils ne s'estimeront pas heureux.
Merci quand même aux musiciens pour une jolie heure de blues.
19:32 Publié dans Jazeur méridional | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : Ligérienne, Jazz
55
Un jour, au Village gourmand
De Montlouis, un certain Armand
Toujours applaudissait
L’Iliade et l’Odyssée
(Au saxophone rarement).
10:25 Publié dans Album de limericks ligériens | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : Ligérienne
Fabien Mary Quintet, à Montlouis, 9 septembre 2006
Au Village gourmand, sous un soleil timide, se produisait hier soir le quintette de Fabien Mary, jeune trompettiste déjà fort d’une solide expérience et d’un joli palmarès.
Avec cette formation, légèrement différente – si j’ai bien entendu les noms des interprètes – de celle avec laquelle il a enregistré son dernier disque, Fabien Mary a décidé d’exhumer les compositions de Tadd Dameron, pianiste et compositeur de la grande époque be-bop, sideman de choix de Miles Davis aux alentours des années 1950, etc.Choix estimable, réhabilitation méritée, mais, à mon goût, l’interprétation était un peu stéréotypée : individuellement, les musiciens du quintette sont très bons, mais tous les titres avaient la même structure (exposition du thème et solos individuels), au point de donner le sentiment que les musiciens n’improvisaient jamais ensemble. Peu risqué et pas très inventif, mais je suis sûr que les amateurs de jazz « classique » (encore faudrait-il nuancer et définir ce terme) y ont trouvé leur compte. Il en faut pour tous les goûts…
Lors du concert, j’ai retrouvé une vieille connaissance, le Montlouisien le plus célèbre, j’ai nommé Simon, Monsieur Oranginal, bénévole au Festival, et son amie Marion (en robe orange). À défaut d’oser publier la seule photo que j’ai prise d’eux, je vous livre un gros plan sur le T-shirt du bénévole !
Cependant, Fabien Mary jouait, à la tête de son quintette (Thomas Savy au ténor, Yves Brouqui à la guitare, Florent Gac à l'orgue, Andrea Michelotti à la batterie), Tadd’s Delight, Delirium, Swift as the Wind, Mating call…
08:45 Publié dans Jazeur méridional | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : Ligérienne, JAZZ, Jazz
samedi, 09 septembre 2006
Trio Viret Ferlet Banville, Montlouis, 8 septembre 2006
Hier soir, j’ai assisté, dans le cadre du Festival de Jazz de Montlouis, au concert du trio formé par Jean-Philippe Viret, Édouard Ferlet et Antoine Banville. Je connais un peu le premier, surtout par son travail avec l’Orchestre de ContreBasses (OCB), un de mes groupes préférés, et un peu Ferlet, le pianiste. Après coup, je me suis aperçu que, si le nom du batteur ne me disait rien, j’avais pourtant écouté, chez ma mère, un disque de ce trio.
Le concert a commencé vers sept heures et quart, après une petite séance consacrée à accorder le demi-queue Steinway L'Instrumentarium.
Cette musique m’a infiniment séduit, et le mieux est sans doute de vous inviter à la découvrir en concert ou en disque (trois albums enregistrés). Les trois musiciens ont joué, dans l’ordre, Ascendant Vierge (solo de contrebasse), Par tous les temps, Ping-pong, Une petite ballade, La part des choses, Les idées vagues et À plus d’un titre. En bis, ils nous ont offert Dérives et Docile, joli contraste de deux humeurs différentes.
Les titres n° 2 et 3 sont des compositions d’Edouard Ferlet, et je crois avoir compris que les autres étaient de Jean-Philippe Viret, auteur à tout jamais cher à mon cœur du superbe morceau Heureuse qui comme Ellis (OCB, Jeux dangereux, Musica Guild, 1995).
Par tous les temps : lyrique, poignante, comme la mer émouvante.
Ai-je pensé à la mer en raison du patronyme du batteur ? Il y aura désormais un trio de Banville : le poète (Théodore), le romancier (John) et le batteur (Antoine).
Les idées vagues : morceau très complet, où l’entente entre les trois larrons est la plus accomplie.
À plus d’un titre : Antoine Banville s’éclate, plus à l’aise, peut-être, dans l’extase.
Aphorisme de concert, dont la véracité ne se dément jamais : « Les gens veulent à tout prix applaudir. »
(Même quand un morceau n’est pas fini. Ne dit-on pas désormais couramment « aller applaudir Untel », et non plus « aller écouter Untel » ?)
Je ne cessais de penser, pendant le concert, au bref essai qu’Antoine Emaz consacre à l’expression de J.-M. Maulpoix, le lyrisme critique : « s’il s’agit d’un élan sans envol, je peux m’y accorder » (je cite très de mémoire). S’élancer, rechercher, créer même avec le sentiment du manque. (Tout de même, on croit souvent s’envoler, avec ce trio Viret-Ferlet-Banville.)
10:15 Publié dans Jazeur méridional | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : Jazz, JAZZ, Ligérienne
jeudi, 07 septembre 2006
Livresse en doux zénith
D'humeur guillerette, sous la chaleur, je me rends à l'université. Au bout du pont Wilson, je m'arrête au feu orange et je vois, dans mon rétroviseur, que la dame derrière moi peste au volant de sa voiture. Je descends et me dirige vers elle. Une fois à la vitre de sa portière, je lui dis très gentiment :
"Je ne vais pas griller l'orange*, madame, quand même." (Comme si ça ne m'arrivait jamais... Enfin !)
Réponse : "Mais ce n'est pas après vous que j'en ai, monsieur."
Bon, d'accord.
Je me rassieds, boucle ma ceinture, attends. Au feu vert, je redémarre et tourne à droite, comme indiqué. La râleuse en tailleur va dans la même direction que moi. Il y a deux files, et, au niveau du rond-point des Mariniers, comme une voiture est engagée, je m'arrête. Sur la file de gauche, la conductrice du jour, arrivée deux bonnes secondes après moi, s'engage à pleine allure et grille la priorité à la voiture engagée sur le rond-point.
Quelques minutes plus tard, au cours d'une conversation, j'apprends que les doublons invendus de l'ancienne bibliothèque pluridisciplinaire sont partis, durant l'été, à la benne à ordures. Même pas au papier recyclé, mind you : à la benne à ordures !
* Orange grillée ou orange grillé, d'abord, hein ???
14:50 Publié dans Moments de Tours | Lien permanent | Commentaires (2)
mercredi, 06 septembre 2006
Gâteau !
Par la porte-fenêtre ouverte j'entends une voisine, qui, au loin, appelle :
Gâteau ! Gâteau !
Ce doit être un animal domestique qu'elle hèle ainsi, et même, si la famille est douée d'humour translinguistique, un chat. Mais moi, qui suis plus ou moins au régime ces temps-ci, j'entends autre chose, et d'autant plus qu'il y a, bien distinct, un circonflexe sur le a... et c'est cruel, vraiment.
20:50 Publié dans Moments de Tours | Lien permanent | Commentaires (2)
mardi, 05 septembre 2006
Un épisode inédit des Barbapapa
19:50 Publié dans ... de mon fils | Lien permanent | Commentaires (3)
Je ne suis pas basque (et pourtant)
Parc Sainte-Radegonde, 27 août 2006. (Pas loin des lamas.)
01:40 Publié dans Autoportraiture | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : Ligérienne
lundi, 04 septembre 2006
54
Un jeune bavard de Noizay
N'arrêtait pas de dégoizay.
Il se promenait sur les quais
De Loire avec ses perroquais :
"Qui voudrait en apprivoizay ? "
01:50 Publié dans Album de limericks ligériens | Lien permanent | Commentaires (1)